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Les outils de l'analyse économique contemporaine

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Par   •  22 Septembre 2020  •  Cours  •  2 595 Mots (11 Pages)  •  348 Vues

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  1. Grands problèmes économiques

  1. Partie 2 : Les outils de l'analyse économique contemporaine

  1. Chapitre 3 : Circuit économique et comptabilité nationale
  1. Section 1 : Analyse macroéconomique

Si ensemble d'agents économiques agrégés → tisent entre eux des liens économiques (épargne, chômage, croissance du PIB = grandeurs agrégés)

→ Mettre en relation des grandes variables (comment quantité de monnaie agit sur inflation ?) et comment améliorer l'économie pour l’État ? (= politique macroéconomique, levier pour jauger cette activité économique (budget, monnaie)

Chapitre lié à l'approche keynésienne car l’État à un rôle économique à jouer.

La notion de circuit

Les physiocrates dirigés par Quesnay ont créé le tableau économique qui se base sur l'anatomie humaine avec le circuit sanguin entre les organes.

2 agents économiques : les ménages et les firmes

Partie haute : firmes offrent de biens et services venant de demande des ménages (relation offre/demande) mais pour produire les firmes doivent avoir des facteurs de production (bâtiment, machines...), ce qui va être offert par les ménages (salariés, capital financier mis à disposition :

Actionnaires ou prêt d'argent).

Donc 2 macro-marchés : marché du travail et marché du capital.

Circuit dépense-revenu = conséquences monétaires. Les ménages doivent payer des services mais cet argent vient de leur travail en tant que salarié dans les entreprises

Production = Revenus = Dépenses (dépense de consommation uniquement car les ménages dépensent seulement) (idem loi des débouchées)

→ il manque l'épargne pour pouvoir avoir de l'investissement qui servira à la croissance du marché donc il manque le système financier (= les banques)

Il faut rajouter un flux partant des ménages vers le système bancaire pour créer un marché de la monnaie

Ménages : agents à capacité de financement et Firmes : besoin de financement

Économie fermée :

L’État (État central, collectivités territoriales et sécurité sociale) : collecte de l'argent sous forme de cotisations obligatoires qui permettent de financer des services publics non marchands (justice, recherches, services culturels...). Une partie des impôts comble l'écart entre le tarif donné pour les ménages et le coût pour l'entreprise. Mais il verse davantage d'argent que n'en prend. Sans impôt, il n'y aurait pas de services publics. Il finance également dans ses transferts sociaux (ex : retraite, populations précaires comme le handicap, maladies graves...)

Équilibre plus complexe : Offre globale = Dépense globale (offre = production en éco fermée = consommation + épargne + taxes ; dépense = consommation + investissements + dépense publique)

(Epargne – Investissements) = (Dépense publique – Taxes)

Deux cas : E > I ou ET et si cas 2 = G

→ si le secteur privé est en excédant de ressources, le secteur public sera en déficit et inversement dans l'autre cas.

On introduit le reste du monde : Importations et exportations → les flux financiers sont donc inverses aux biens ; il y a aussi des échanges de capitaux (usine de construction Toyota = sortant du Japon et entrant en France) où on finance l'activité

Macro-économie de court et long terme

Quantités = Production

Cas de figures d'économie ouverte avec import/export

M= importation et X= exportation

Nouvelle condition d’équilibre : X-M = (E-I) + (T-G)

On peut avoir un secteur public déficitaire mais des exportations en excédant par rapport au reste du monde = on accumule des créances au reste du monde (il y a plus de capitaux qui entrent)

Ce schéma semble mais au niveau de l'économie nationale : Dépense < Revenus donc on dépense moins que l'on a de revenu (utiles pour des projets futurs de reconstruction) → ont contraint aux ménages d'avoir un niveau de vie de ce qu'ils pourraient avoir.

L'économie nationale est déficitaire en France avec le secteur privé qui est inférieur au secteur public mais on trouve des épargnants dans le monde. Aux États-Unis, déficit immense de l'économie venant du secteur privé car peu d’épargne des ménages et le système public.

L'offre implique-t-elle la demande ou la demande implique-t-elle l'offre ? (Moteur du système économique ?)

L’État doit rendre l'économie la plus libre possible au niveau de l'offre (ex marché du travail : éviter de surcharger le marché du travail et le rend plus réactif, ne pas surcharger la fiscalité...)

Les keynésiens inversent cette logique et les entreprises anticipent la demande en fonction des carnets de commande par exemple → déclenchement d'une dynamique économique de croissance (ex : politique de Trump → le plein emploi)

Dans la pensée classique, la monnaie n'agit pas sur l'économie nationale car si on injecte de la monnaie, on aurait une inflation budgétaire immense. Elle va juste influencer le niveau des prix

(= théorie quantitative de la monnaie). Monnaie = neutre

La mécanique classique (les libéraux) est acceptable à long-terme. Si on prend ce schéma, la seule chose importante est d'assurer une croissance à long-terme (production s’accroît dans le temps) : l’État doit faire en sorte que la qualité des facteurs de production s'élève (système éducatif qui tire vers le haut, soutien sur la recherche et le développement).

Keynésienne : le court-terme est important (première puce) car existence de crise de production d'où produit effectif < produit potentiel (ex : grande dépression), constat corrélé au fait que dépense origine de l'offre. Pas de potentiel atteint car sous-emploi donc des capacités de travail et de production non utilisées.

La monnaie est donc active avec le taux d'intérêt. C'est un levier efficace dans la politique monétaire. L'activité économique peut être bloquée par la demande (voir schéma), on ne part pas du même endroit.

L’État peut jouer un rôle dans la macro-économie avec les leviers budgétaires et monétaires pour réguler l'activité économique en fonction de l'état de l'économie nationale (revenu de substitution, baisse des taux d'intérêt, ...). Il ne faut pas tout le temps faire de la politique budgétaire, il faut aussi qu'elle rebouche sa dette.

  1. Section 2 : Quelques éléments de comptabilité nationale

Comptabilité nationale :

On définit des règles pour quantifier le circuit économique (ex : PIB).

Utile : donne des ressources sur le passé, faire de la prévision notamment pour anticiper des chocs sur l'activité (de demande et d'offre) de type grève massive ou technologique par exemple et c'est une façon de mesurer l'efficacité des réformes politiques économiques, et comparer avec des pays étrangers car ils n'ont pas tous la même situation.

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