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La communication en organisation

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Par   •  22 Novembre 2018  •  Cours  •  1 350 Mots (6 Pages)  •  506 Vues

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La communication dans les organisations

Réseau formel de communication;

  • individu/groupe en interrelation, ensemble de canaux pour rassembler des éléments. Souvent représenté par un organigramme.

  • Modèle mécaniste versus modèle organique :

  • Modèle mécaniste : voir l’entreprise comme une machine, vision très économique de l’humain. Gens qui décident et gens qui exécute. On privilégie des canaux de communications descendantes, omniprésence des règles conçut par l’organisation véhiculer vers les employés, normes à respecter, outils que les employés disposent. Unidirectionnel.
  • Modèle organique : relations interpersonnelles, les employés veulent participer à la vie organisationnelle, prendre des décisions, pas centralisé mais décentralisé, communication descendante est plutôt les budgets et équipement, il y a aussi une communication ascendante en ce qui concerne les insatisfactions, les problèmes, les comptes rendus, suggestions de changement et les besoins de ressources. Doit mettre en place des réseaux de communication horizontal pour transférer des savoirs (service à la clientèle aux ventes à l’usine)

Réseau informel de communication (sociogramme)

  • L’information va être transmit plus rapidement, augmenter le sentiment d’appartenance, favorise la socialisation des nouveaux employés, peut régler des problèmes en communiquant avec les autres départements au lieu d’aller vers les supérieurs.
  • Inconvénients : Jalousie, rumeurs, certains peuvent avoir des positions meilleures pour avoir les informations plus rapidement, pas de façon de déterminer la source de l’information, peut se douter de la légitimité. Plus le réseau est sophistiqué, plus ça peut nuire. Peut se perdre dans nos repères,

  • Caractéristiques :
  • Densité : plus le nombre de canaux est nombreux, plus il y a de relations
  • Centralisation (réseau) : si la configuration est plutôt visée sur certains individus, plus on dit que c’est centralité.
  • Centralité (individu) : plus un individu entretient un nombre élevé de relation, plus sa position est centralisée. Souvent quelqu’un avec beaucoup de jugement, facteurs structurels,

Les types de réseaux

  • Réseaux centralisés : position plus centrale fait que le réseau dans son ensemble est centralité
  • Entretient plusieurs relations et les autres ont seulement 1 relation. Le plus central des réseaux.
  • La chaîne : Niveaux hiérarchiques, gens aux bouts ont 1 seule relation.
  • Le Y : Niveau hiérarchique, 1 individu qui a 3 canaux de communication donc très central.

  • Réseaux décentralisés
  • Le cercle : pas d’individus plus central qu’un autre.
  • L’étoile : Le plus dense, égalité, nombre de canaux maximal.

Réseaux plus centralisés permettent de traiter plus rapidement de l’information.

Résolution de problèmes

Réseau centralisé

Réseau décentralisé

La roue

La chaîne

Le Y

Le cercle

L’étoile

Vitesse

Problème simples

Rapide

Lente

Problèmes complexes

Lente

Rapide

Qualités

Problèmes simples

Élevé

Faible

Problèmes complexes

Faible

Élevé

Satisfaction des membres

Faible

Élevé

Processus de communication

  • Modèles linéaire et interactionnel

  • Conception d’une idée : 1ere étape, l’idée est l’essence même de ce qui va être communiqué, orienté vers une cible.
  • Encodage de l’idée : langage pour véhiculer cette idée,
  • Transmission du message : la façon dont on va communiquer le message, courriel?
  • Réception du message : prendre connaissance des signaux (visuel ou auditif) Capter le message
  • Décodage du message : Capter les sons et interpréter,
  • Utilisation du message : Va faire quelque chose avec ce message, exemple exécuter une tâche.
  • Rétroaction message : Répondre à la personne
  • Modèle transactionnel (notion d’échange)
  • Champ d’expérience du communicateur A : ensemble de perceptions par rapport à un situation, l’ensemble des choses que je connais par rapport à la situation.
  • Champ d’expérience du communicateur B : Créer un chevauchement avec cette personne
  • Relation (message rétroaction) : Créer un chevauchement de nos connaissances, donc on se transmet de multiples messages en même temps. Émission et communication constant. Émetteur et récepteur en même temps.
  • Contexte : relation qu’on établit avec une autre personne (1) dans des conditions particulières qui vont influencer les individus. (2) Influence aussi l’interprétation des messages véhiculer.
  • Les obstacles à la communication ****
  • Sources de distraction : éléments qui ont pour effet de perturber au niveau compréhension (décodage), l’attention (conception de l’idée), l’encodage s’il faut réfléchir, la réception. Soit au niveau de l’émetteur ou récepteur. Peut être interne (mal à la tête, ventre) ou externe (bruits ambiants)
  • Quantité d’information : le volume d’information, le récepteur s’il y a une surcharge d’information, sera pas nécessairement en mesure de tout décoder, manque d’intégration des éléments véhiculé. ‘’perdre des bouts’’
  •  Le cadre de référence : ex. les différences culturelles. La façon d’interpréter les mots véhiculer peut diverger. Pas la même façon d’interpréter.
  • Les problèmes de sémantique : Le sens des mots, le mot choisi est le bon mot? Encodage. Signification. Par exemple dire ‘’c’est cool’’ quelqu’un peut penser que c’est froid.
  • Perception sélective : on entend ce qu’on veut entendre, retenir les éléments qui sont cohérant avec nos valeurs/croyances/expériences. Niveau du récepteur.
  • La filtration de l’information : au niveau de l’émetteur, tendance d’un individu à choisir les éléments exprimés en fonction de la perception de l’autre personne. Si la perception est inexacte, on ne fera pas le bon choix d’éléments. On peut ‘’sursimplifier’’.
  • La position hiérarchique de l’émetteur : tendance à attribuer plus d’importance à un message en fonction du statut hiérarchique de l’émetteur. Au niveau du décodage. Messages émit par différents émetteurs dans une organisation, on va avoir tendance à mettre plus d’importance aux messages de ceux au niveau hiérarchique plus haut. Mène à ne pas tenir compte d’aspects importants.
  • Les messages contradictoires : Le fait que l’émetteur transmet des messages qui s’oppose d’un à l’autre. Au niveau du décodage. Quelqu’un dit de faire preuve d’initiative, mais on sait qu’on va être puni si on fait quelque chose de mal. Dualité va créer une tension.

Transmission des messages

  • Direction de la transmission :
  • Communication unidirectionnelle :
  • Communication bidirectionnelle : rétroaction

  • Synchronicité de la transmission :
  • Communication asynchrone : renvoi a un échange lorsqu’il y a un délai entre la réception et l’émission du message.  (Email, rapport)
  • Communication synchrone : lorsque la réception se fait en même temps que l’émission. (Face à face, téléphone.)
  • Modes de transmission
  • Communication verbale (écrite ou orale)
  • Communication non verbale : tout ce qui accompagne le message. Sert d’information additionnelle, peut appuyer ou démentir un message. Permet de donner des informations sur quelqu’un.
  • Signaux universels instinctifs : s’applique à l’humain. Ces signaux qu’on a pas à apprendre, dès la naissance on peut donner ces signaux. Sourire, pleurer, toutes les émotions, colère, réactions de stress,
  • Signaux universels appris : le recule/lever les mains démontrent la non-agression et retrait, serrer le point et s’avancer,
  • Signaux cultuels codés : habillement, quel joue je tends pour allo,
  • Aménagement des lieux : peut changer la dynamique, envoi des signaux de qui a le pouvoir.
  • La théorie de la richesse des médias
  • Le synchronisme de l’échange d’information (communication synchrone et bidirectionnelle)
  • L’étendue des signaux verbaux et non verbaux. Plus l’étendue est grande, plus la communication est riche.
  • Dans des situation ambigües et non familières, il est préférable d’utiliser des médias riches pour communique efficacement.
  • Évaluer dans quelle situation on se trouve pour prendre le bon moyen. Faire le bon choix contenu de la situation, pas mettre les gens en zone de simplification. Éviter aussi les situations de surcharge.

Climat de communication

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