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Enjeux environnementaux

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Par   •  21 Avril 2020  •  Cours  •  1 804 Mots (8 Pages)  •  577 Vues

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Enjeux environnementaux

2.3 Les solutions techniques : le stockage et les transferts

Une des réponse apportée à ce manque d’eau est la création de barrages hydrauliques.

3. La dégradation de la qualité de l’eau

  • Les ressources en eau face aux évolutions contemporaines
  • L’eau est essentielle car tout ce qui est vivant est fondamentalement composer d’eau.
  • Pendant longtemps, l’humanité à récupérer l’eau en surface (lac, rivière..). Cette dernière, jusque dans les années 50, suffisait à alimenté les besoins des hommes. Depuis, l’homme puise dans les ressources souterraines pour combler ses besoins

Pourquoi ce besoin croissant ?

-> L’augmentation de la population qui à plus que doublée et qui continu de croître.

-> La consommation, avec l’élévation du niveau de vie, par habitant en eau augmente.  

  • Dans certaines régions du monde, de nombreuses régions (1 millard d’habitants ) n’ont pas accès à l’eau potable.
  • Le contact avec une eau non-potable ou contaminé est un grand facteur de mortalité dans le monde.

=> Nous sommes aujourd’hui contraint de revoir notre façon de consommer l’eau ; de façon plus raisonner, de moins polluer etc….

  • Malgré « l’abondance » de l’eau, une faible quantité est douce, donc non consommable. L’eau en générale recouvre 70% de la Terre.

-> 97% de l’eau se trouve dans les océans

-> 2,5% se trouve dans les calottes glacière ou dans les glaciers

-> 0,1% dans les lacs

-> 20% dans les nappes souterraines

- Il y a une évaporations très importantes dans les océans (plus d’évaporation que de précipitation). C’est néanmoins ce déficit qui permet le fait qu’il y et plus de précipitation que d’évaporation sur les continents.  

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  • L’inégale répartition des ressources accessibles
  • Les précipitons sont très variables sur les différents continents / océans :

        -> Du cotés de l’équateur, les régions ont plutôt des précipitations suffisantes.

        -> Vers les tropiques, il y a des régions plutôt arides dans les latitudes subtropicales.

        -> Des desserts sont aussi arides

        -> certaines régions comme en Inde sont hyper pluvieuse

  • L’eau disponibles (Q) est égale à la larme d’eau précité (P) moins la larmes d’eau évapotranspirer (E) => Q= P-E
  • L’eau devient de plus en plus rare et plus cela va, plus l’homme consomme (depuis la seconde guerre mondiale, la consommation grimpe de façon très importante). Cette consommation est essentiellement d’origine agricole (65%)
  • La notion de stress hydrique* est de mise quand les ressources en eau sont en dessous de 1700 mètre3 par habitant et par ans. Mais aussi quand le taux d’utilisation d’eau dépense 20% de l’eau disponible. La pénurie est quand cette valeur est en dessous de 500 mètre3 par habitants et par ans ou quand le taux d’utilisation dépense 40%.
  • Il faut différencier la consommation d’eau et son utilisation.
  • Les conséquences de la consommations d’eau mondiale est la création donc de stress hydriques et de pénurie et le risques d’augmentation de cette dernière.
  • Elle peut aussi être source de violents conflits (exemple au moyen Orient) et crée des tensions politiques souvent lié aux fleuves transfrontlier avantagent les pays situer en amont de ces derniers.
  • Les outils pour palier aux manques d’eau sont majoritairement la construction de grands baraques, de canaux pour faire des transferts d’eau entre régions ; donc les solutions techniques.
  • La dégradation de la qualité de l’eau  
  • La dégradation crée de nombreux risques bactérien et chimiques. Cela crée aussi un écart entre les pays développé et en développement ( ces dernier y sont bien plus exposer en raison e l’absence de traitement de l’eau).
  • On parle surtout de la pollution des eaux de surfaces ; mais même si les sols philtre les polluants, les eaux souterraines proches de la surfaces sont aussi contaminées.
  • La pollution de l’eau au seins d’un pays (par exemple en France ) est aussi inégalement répartie.
  • L’agriculture avec les pesticides est une grande raison de la contamination de l’eau
  • L’eau de souterraines ne se renouvelle pas, donc elles resterons polluée bien plus longtemps.
  • Quelle gestion de l’eau pour demain ?
  • Il faudrait traiter les pollutions pour dépolluer et diminuer les flux d’intrant polluant.
  • Avoir une meilleure gestion pour éviter le manque d’eau. Il faudrait plus d’investissement consacrer aux économies d’eau et de structures à cet effet.
  • La tarification de l’eau devrait être plus juste pour diminuer les consommations.
  • La création d’un droit international de l’eau
  • Le passage à une politique de régulation de m’offre et de la demande pour un e utilisation plus durable de l’eau.
  • L’utilisation d’eau non conventionnelle par le délassement et la réutilisations des eaux usées.
  • Les inondations :

° La répartition mondiale des zones exposées aux aléas 

  • Résulte du débordement des cours d’eau (sorti du lit mineur) ou bien du ruissellement sur des sols imperméables. Ce risque est augmenté par la densification de la population et l’augmentation de la superficie des villes.
  • Les pays du suds sont plus touché par les inondations que les pays développés (niveau victimes aussi). Cela est vrai pour la plupart des catastrophes naturelles. Le nombre n’est pas plus important, mais les population de ces pays sont juste plus vulnérables.
  • Un risque* est la rencontre entre l’aléa et d’enjeux (la présence humaine directe par exemple). Il existe des aléas très fort
  • Le risque des inondations concerne la plupart des pays de la planète ; la différences est la présence d’enjeux ou non.

° La composante zonale du risque 

  • Les façades est des continents sont en générale plus touchées. Ainsi que les aires de cyclogenèse (là où se déclenche les cyclones) qui se situe principalement dans les mers chaudes. Pour que les cyclones apparaissent, il faut une température minimum (eau à 26° et 50 mètre d’épaisseur), être suffisamment éloigné de l’équateur et de fortes précipitations ainsi que l’absence de vents forts en altitude. Les régions les plus touchée sont le nord de l’Amérique du sud, l’Amérique centrale, Madagascar, Mozenbic …
  • L’espace méditerranéen est aussi une zone à risque ubiquiste* notamment en automne.

° L’accentuation de l’aléa aux échelles plus fines

  • Le facteur montagne constitue un obstacle qui engendre l’importance des précipitations et donc, sont favorable aux déclenchement des inondations    -> Facteur orographique* (relief).
  • Le simple facteur topographique* (petit relief) peut suffire à augmenté le risque d’inondation en faisant doublé les inondations.
  • Les humains jouent un rôle dans les inondations avec la construction de digues par exemple. Cela limite l’expansion du lit majeur.
  • La géologie entre aussi en compte avec le degré de perméabilité des roches. Ainsi que l’état et la nature des sols.

° L’examen de la situation en France 

  • La France des plaines subit peu d’inondations peu dangereuses en raison de la lenteur de ces dernières (victimes rares). A l’inverse, dans les espaces montagneux et méditerranéens, les crues sont plus soudaines, rapides et imprévisibles.
  • Il existe les inondations de plaines, de montagnes et de villes existent.
  • Les départements sont donc touchés de façon inégale.

° L’évolution de la vulnérabilité

° L’avant après révolution technologique du XXème 

  • Avant , on pensait que les cataclysme venait d’une punition divine.
  • A partir de la révolution industrielle, l’homme se place au centre du monde (anthropocentrisme*) et se dote de moyen qu’il pense être capable de le protéger des catastrophes naturelles (barrage, digues…). On pensais que l’homme pouvait dominer les éléments de la nature, au point de lui faire oublier des dangers réels.
  • Cette modernisation entraîne une déresponsabilisation, à cause de l’artifisialisation les crues montent plus vite.

° Les facteurs de l’augmentation de la vulnérabilité dans les pays en développement :

  • La croissance démographique et urbaine (doublé d’un urbanisme mal contrôlé) augmente en effet les risques. L’Asie est la plus touchée par ce fait. De plus, les victimes sont en générale directes mais parfois indirectes.
  • Les populations pauvres sont ls plus touchés car elles vivent dans des zones à risques, elles vivent dans des habitats précaires et n’ont pas accès à l’information.

  • La sécheresse :
  • C’est un phénomène relativement rare dû à un déficit de précipitation engendrant de nombreux problème. Il y aussi différents degrés de sécheresse. Si les précipitation ne reviennent pas le problème s’aggrave et descendre en profondeur, s’attaquant aux nappes phréatiques. On parle de sécheresse hydrologique* quand les cours d’eau sont impactés. 
  • Malgré la réserve hydrique des sols, cette dernière peut se réduire pour de multiples facteurs et donc affecter la flore qui puise de l’eau à cet endroit.

° Les régions soumises à des risques élevés

  • Par le passé, le risque naturel le plus meurtrier est les sécheresse et peut le redevenir. Cela en raison des famines qu’elle entraîne.
  • Les régions les plus exposées à ce risque sont les régions arides notamment près des déserts, les régions en guerre qui sont difficiles à aider…L’Afrique est une région très touchée (exemple de l’Ethiopie), l’Asie aussi, certaines régions d’Amérique. Sous la ZCIT (zone de convergence intertropical), bascule entre l’hémisphère nord et sud en fonction des saisons pouvant créer des sécheresses dans certaines régions.
  • Ces sécheresses menacent le nomadisme car ces populations bougent avec les précipitations. La solution est de créer des petits barrages pour alimenter les hommes et le bétails.

° Vers une augmentation des risques ?

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