Étude du roman Belle Du Seigneur d'Albert Cohen

Belle du Seigneur (etude du texte)

Arianne invite Solal a prendre le the..

le thème du texte est d’un rendez-vous amoureux

• cet un roman d’amour narratif. 2 personnage dans l’extrait Arianne et Solal. La premiere partie se deroule dans la tete d’arianne. une sorte de discussion en elle-meme. le texte est ecrit a la 3 eme personne.

• chez le lecteur, c’est un peu comique comme situation.

La premiere partie se passe dans la tete de Arianne, elle est la seule presente dans ce passage avec le pronom « elle ». Arianne met en place un plan de comment l’acueillir cherchant le meilleur moyen. comme un mode d’emploi ou une recette de cuisine «aller », « ne pas se précipiter » , « ne pas oublier » ou « lui apporter ». C’est une repetition de la scene et comme dans toute repetition on essai et on change, «Oui, très bien », « Non, l'interrogation était ratée ». Mis en valeur avec « de manière » pour insister sur la preparation.

Il s’agit beaucoup de respiration, il faut controler sa respiration « respirant largement », « essoufflée ».

Arianne veut se montrer digne comme elle le dit avec «dignement », gracieuse et faire valoir son titre de fille de bonne famille et «ne pas oublier qui elle était ». Elle ne veut pas paraitre trop a l’attente de Solal et trop a son service , « se maitriser », « pour n'être pas devant lui en posture de femme de chambre », « sans servilité ».

La deuxieme partie montre la scene meme. Le debut marque le nouveau paragraphe avec « Elle se précipita » ou ici le passe simple demontre enfin une action. Cela se comfirme avec la sonnette qui marque communement.

On voit déjà que la scene prevue differe de ce qui se passe reellement avec le mouvement de precipitation qui est tout le contraire de « ne pas se précipiter » du paragraphe d’avant.

On retrouve une Arianne qui n’est plus maitresse d’elle-même, elle est en proie au stress « sang battant à ses oreilles » « Sa voix serait enrouée », « Lèvres tremblantes », « les joues enflammées », et manquait de confiance en elle «se sentit dépourvue de charme », verifiant qu’elle était parfaite pour le recevoir « elle resta devant la glace » , « Avait-elle bien enlevé la poudre ? ». Les nombreuses questions que se pose Arianne. « Pourquoi ne lui parlait-il pas ? Lui avait-elle déplu ? » viennent aussi confirmer le stress et la peur de ne pas avoir fait les choses comme il faut.

L’enumeration, la ponctuaction et l’abscence des pronoms « » montre la rapidite avec laquelle arianne s’empresse d’aller ouvrir. L’auteur la tourne en ridicule avec l’action de « faillit tomber ».

Le comique vient aussi du fait que c’est precipitation et maladresse de Arianne est oublier juste apres avec un ton naturel et qu’on peut imaginer calme lorsqu’elle s’adresse a Solal.

Arianne se met en valeur devant Solal en empruntant une voix de « chanteur d'opérette faisant du parlé » ce qui est loin ici d’etre naturel.

On note que « respiration difficile » vient s’opposer a « respirant largement » et « le

...