Économie des médias

Economie des médias

La part des charges fixes dans une entreprise médiatique est faible, vrai ou faux ?

Faux.

Charge fixe : qui ne vont pas varier en fonction des quantités produites.

Salaires, locaux, équipement techniques (charges fixes).

Problème fondamental des entreprises médiatiques, l’information est de plus en plus périssable et incertaine.

Réaliser des économies d’échelles avec une entreprise médiatique n’est pas possible ? Vrai ou Faux ? Faux.

Economie d’échelle : baisser le cout unitaire de production en produisant d’avantage.

Pour qu’ils fassent des économies d’échelles, il faut multiplier les supports et les angles des sujets traités.

Quelles sont les faiblesses des entreprises médiatiques françaises ?

Il n’y a pas de grands groupes comme en Allemagne et en Grande-Bretagne.

Problèmes managériaux (syndicat du livre, poids important), encadrement vieillissant et moins dynamique.

Classez par ordre de lecture PQN, PQR, PHR, PQUG :

1- Presse quotidienne régionale 15,747 millions de lect/jour

2- Presse hebdomadaire régionale 7 millions de lect/jour

3- Presse quotidienne nationale 6,409 millions de lect/jour

4- Presse quotidienne urbaine gratuite 3,059 millions de lect/jour

Facteurs de la crise dans la presse et les médias :

Baisse des recettes publicitaires (en cas de crise la com saute, car trop chère).

Les entreprises médiatiques mettent en place des stratégies :

- Prix (baisse): TF1

- Ciblage plus important : Ouest France avec ses 50 unes régionales.

- Multiplier les supports + les supports numériques (problème personne ne sait si c’est vraiment rentable).

Avenir de la presse :

Vision pessimiste : Une information de qualité payante, contrairement à ceux qui n’ont pas d’argent moins bonne info car gratuit.

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