Synthèse corps artificiel et naturel

Dans ces documents, nous pouvons observer différentes images du corps humain, différents efforts, et comment il vit. Il y a tout d’abord, l’aspect esthétique, représenté par l’homme de Vitruve, l’écorché, ainsi que Usain Bolt en plein effort, photo des JO de Rio en 2016, montrant la beauté d’un corps, mais aussi le dépassement de sois, l’effort, comme le texte de Michel Serres dans « Variation sur le corps » en 1999. Mais le texte de Régine Detambel « le Syndrome de Diogène » en 2008, ainsi que Daniel Pennac du « Journal d’un corps » en 2012 et l’image des trois femmes de Klimt montre aussi sont évolution, comment le corps se dégrade avec le temp. Une question se pose donc : 

Les capacités du corps humain sont elles sans limite? 

Après avoir traité de l’aspect physique du corps, avec L’homme de Vituve et l’écorché, nous

étudieront par la suite l’efforts, et les capacités avec Usain Bolt et Michel Serres, puis analyserons les documents de Daniel Pennac et Régine Détambel pour observer la dégradation du corps, sont

évolution. Le corps, ses capacités et sa dégradation est un cycle commun. 

L’homme de Vitruve représente donc le corps humain parfait, avec ses membres tous proportionnels lié à l’écorché, qui lui représente le corps, sans peau pour faire apparaitre chaque muscle et ligament permettant au corps de fonctionner. Si nous allions tout ceci, cela nous permet de définir des capacités. Chaque muscle a des capacités, mais relié ensemble, cela en apporte de plus grande. Une cuisse n’est rien sans mollet, et pour les faire fonctionner il faut un genoux, relié par des ligament. Si l’un se déchire, les capacités de chaque muscle sont fortement réduites. Le corps a donc des limites, mais Usain Bolt nous montre que ses limites sont visiblement dépassé, en battant des records, parfois ses propres records en course. Et Michel Serres nous le montre, que notre corps, n’a pas de limite, que notre corps peut surmonter de grandes épreuves physique, si l’aspect mental est présent. Une volonté peut pousser un homme a dépasser des limites. Mais ces limites ne sont que celle fixé dans la tête de chaque individus. Un muscle, a des limites, mais une autre limite existe, sinon pourquoi sommes nous toujours

surpris par les efforts de certaine personnes comme Usain Bolt, et tout les sportifs? Michel Serres dit je cite « Cette expérience générale ne parait pas frapper d’étonnement ces philosophies occupées à répéter la litanie de nos faiblesses. Du corps de qui parlent-elles? » 

D’un point de vue scientifique, le corps a ses limites, mais des limites plus basses sont fixées dans la tête de chaque individus, et seul la volonté nous permet de les dépasser, pour se rapprocher des limites réelles du corps. Une seul limite que nous connaissons tous, et celle de la vie.

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