Securiplus Assurance

«La division et la spécialisation du travail permettent l’accélération de la production, l’augmentation des habiletés et l’accroissement de la capacité de chacun à innover et à améliorer son poste de travail.» (Michel G. Bédard, Mehran Ebrahimi, Anne-Laure Saives, Management à l’ère de la société du savoir, 2011, p.34)

De prime abord, chez l’entreprise assurance «Sécuriplus» on constate que la division du travail et l’organisation scientifique du travail sont deux principes auxquels «Sécuriplus» est très obéissante, d’après le texte, l’entreprise comprend trois divisions : la division vie, la division industrielle et la division médicale, chaque division a son propre système administratif distinct des autres, notre exemple et le service des réclamations/médicaments, cette division comme elle est présentée dans le texte : «la division médicale comptait 66 employés répartis comme suit : sept cadres supérieurs, 20 vendeurs, 25 commis de bureau et 14 préposés à l’administration.» (Extrait du cas, p. 2)

Assurance «Sécuriplus» est très stricte au niveau de l’organisation scientifique du travail ce principe se manifeste clairement lorsque le courriel arrivait à la division médicale et les étapes à suivre concernant son triage «le courrier arrivait à la division médicale tous les jours à 11 :00 le courrier était ouvert à l’arrivée et on procédait alors à un premier tri en fonction des divers services […] le courrier était distribué à chaque service à 14 :00…le service des réclamations/médicaments le triait à son tour» (extrait du cas, p.3) chaque personne est spécialisée en une tâche ce qui facilite le travail à la minute, le cheminement séquentiel (figure2) nous rappelle l’étude de l’exemple d’une manufacture d’épingles de Smith «Un homme tire le fil, un autre le tend, un troisième le coupe…» (Michel G. Bédard, Mehran Ebrahimi, Anne-Laure Saives, Management à l’ère de la société du savoir, 2011, p.34).

En revanche, d’après l’organigramme de la division médicale (Figure1) du cas, le taylorisme semble très présent chez «Sécuriplus» : la double division du travail : verticale : séparation entre conception et exécution, et horizontale : à chacun sa tâche spécialisé. On constate aussi un autre principe celui de la séparation des tâches.

On outre, l’entreprise assurance «Sécuriplus» maintient la formation, et le suivi du personnel : «Nous avons investi des milliers de dollars en formation interne, et j’ai envoyé tous les commis aux réclamations suivre des cours de saisie et de traitements de données à l’extérieur», « ils ont tous eu 10 heures de formations intensive…» (Extraits du cas «Sécuriplus», p.10).

Les organisations contemporaines, eux aussi, font preuve du taylorisme.

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