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Leçon 7. La politique de la concurrence

Objectif : - S'interroger sur la pertinence du modèle du concurrentiel et sur les interventions de l'état.

Depuis un trentaines d'années, l'Europe et les principales économie mondiale connaissent un vaste mouvement de libéralisation. De nombreux marchés tel que le transport aérien, la distribution d'électricité, de gaz, le transport ferroviaire, les distributions de courriers, le paris sportif se sont libéralisé.

La libéralisation c'est rendre libre l'accès à un marché pour le plus grand nombre d'offreur et de demandeur. Cela implique la fin des monopoles (situation ou il y a un seul offreur sur un marché) notamment des monopoles d'état et le développement de la concurrence. De plus, ce mouvement est la traduction de la conviction que les marchés concurrentiels sont la meilleur forme d'organisation économique.

Schéma 1, 4 et 31.

L'atteinte et la permanence d'une équilibre général

II.

A.

Akerlof utilise l'exemple des véhicule d'occasions.

À montré que quand la condition de transparence n'était pas rempli quand il y avait des asymétries d'information, le marché conduit des dysfonctionnement voir des défaillances. Le marché peut être défaillant. Il faut que l'état intervienne pour restaurer l'information.

AKERLOF montre que l'asymétrie d'information est une cause de défaillance du marché. En prenant exemple sur le marché des véhicules d'occasions, il montre que les acheteurs non informé sur la qualité des produits vont exiger une baisse de prix pour compenser le risque de tomber sur un produit de mauvaise qualité. Cependant, les vendeurs de bon produit vont refuser de baisser leur prix et vont donc quitter le marché. Seul subsiste sur le marché les mauvais produit. Ce phénomènes de sélection des mauvais produits s'appelle « un effet de sélection adverse ou anti-sélection ». Si une partie de l'offre quitte le marché, on est bien dans un phénomène de sélection adverse et donc de dysfonctionnement de marché. On peut même imaginer que le marché soit totalement défaillant puisque sachant qu'il n'y aura que des produits de mauvaise qualité sur le marché, les demandeurs pourrait désertés se dernier.

B. Les biens générant des externalités

Un externalité c'est un effet négatif, un tord causé à quelqu'un par autrui. On parle alors d'externalité négative. Ou un effet positif : un bénéfice offert par quelqu'un à autrui (externalité positive) sans contre partie monétaire (sans paiement).

Cela pose des problèmes économiques. On arrive dans une situation absurde.

Le problème des bien générant des externalités est double.

D'une part :

→ les producteurs de biens générant des externalités positives n'étant pas récompenser pour leur offre mais en subissant les inconvénients (la piqûre pour la vaccin) peuvent décider d'arrêter d'offrir

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