​Questionnaire sur le reportage "Femmes: les oubliées de la santé"

​Questionnaire sur le reportage "Femmes: les oubliées de la santé"

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1) Quel est le thème du reportage?

Le thème du reportage:  femmes et les oubliés de la santé.

2) Qu'est-ce qui distingue le comportement des hommes et celui des femmes à l'égard de leur propre santé?

Les femmes ont tendance à agir dans un état d'anxiété avec somatisation, tandis que les hommes sont plus susceptibles de se déstresser et de négliger leur propre santé.

3) Quelles sont les maladies qui touchent de plus en plus les femmes? Pourquoi?

C'est là que réside le stéréotype: lorsque vous imaginez une victime d'une crise cardiaque, vous pensez spontanément et de manière unique à un homme de 50 à 60 ans. Cependant, les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès chez les femmes. Phénomène inconnu, non découvert, mal médiatisé ... Cela est dû à des préjugés injustes, voire complètement sexistes, dont l'un est l'idée que les femmes sont au bord d'une dépression nerveuse et non d'une crise cardiaque. Les écarts sont complètement intégrés et digérés par les femmes elles-mêmes ... Bref, ils connaissaient très bien leur utérus et leurs seins, mais ils ont oublié qu'ils ont aussi des organes et des artères.

Véronique Préault: «Nous sommes sept fois plus susceptibles de mourir de maladies cardiovasculaires que d’un cancer du sein. Et, on ne le sait pas encore. Alors, évidemment, il ne s’agit pas d’en avoir trop fait avec le cancer du sein. le travail effectué il y a 30 ans pour le cancer du sein doit maintenant être fait pour les maladies cardiovasculaires, et cela peut être fait, cela peut aussi être fait pour le cancer du poumon féminisé, et cela peut être fait pour tout le reste. Si nous remettons les choses en place, il y aura moins de femmes victimes de maladies cardiovasculaires. Cependant, plus de personnes mourront et développeront des complications. C'est une question paradoxale, car il y aura un tel retard dans le traitement médical, en particulier dans les maladies cardiovasculaires, et même dans le cancer du poumon. En raison du décalage dans le temps, chaque minute, chaque jour, chaque semaine, la perte est C'est un gaspillage de chance. "

4) Quels sont les préjugés qui imprègnent la science médicale?

Le préjugé que nous rencontrons relativement à la médecine est l'indifférence absurde, impossible, qu'il est de mode d'affecter, touchant les choses de la science médicale. Or, dit M. le professeur Thomas, « nul ne saurait demeurer insensible aux questions que soulève la maladie nul, si sceptique, si stoïque fût-il, ne saurait se soustraire aux préoccupations intimes que donne la possession, toujours ardemment désirée, du premier

des biens, la santé, a ce zéro qui fait » valoir les unités de la vie. »

5) Qu'appelle-t-on la "médecine bikini"?

Ce documentaire remonte aux racines profondes de la discrimination parce qu'elles sont profondes dans le temps et la portée. Véronique Préault a expliqué comment la médecine elle-même réconforte les femmes, pensant que le danger ne vient que du système reproducteur et des seins. De la soi-disant médecine du bikini: «Il y a longtemps, ce sont les féministes américaines qui ont découvert ce phénomène. C'est ce concept qui nous a bien appris sur les soins mammaires, les mammographies, et ensuite nous avons effectué des procédures très strictes sur eux. La recherche. Nous avons en effet intégré ce phénomène très C'est fort, mais il n'y a pas d'équivalent dans d'autres parties du corps.

Ce qui ne sera pas trompeur, c'est qu'une fois que les femmes auront terminé leur période de procréation, leur volonté de consulter sera considérablement réduite. Cela montre qu'ils ont intériorisé le fait que leur santé n'est pas aussi importante que d'autres choses. Par conséquent, il est très important d'en être conscient. Nous ne sommes pas seulement des utérus et des seins. Nous sommes aussi des organes. 

​6) Comment les manuels de santé reflètent-ils les préjugés sexistes?

En prenant pour objet d'étude le manuel scolaire, la délégation souhaitait approfondir sa réflexion sur les moyens de lutter contre les stéréotypes sexués en examinant plus particulièrement les représentations des hommes et des femmes dans les outils pédagogiques utilisés à l'école.

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