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Marche Vehicules D Occasion France

Compte Rendu : Marche Vehicules D Occasion France. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  25 Novembre 2014  •  9 710 Mots (39 Pages)  •  707 Vues

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Le canal internet qui reste incontournable tant pour les ventes de VN que de VO mérite de mettre en place une

stratégie digitale pointue afin de rester actif, visible et de capter l’intérêt de l’acheteur au moment clé qu’est la

recherche du véhicule. Rappelons que 9 acheteurs de véhicules sur 10 se rendent sur internet pour faire leur choix, et

plus de 7 acheteurs de VO sur 10 savent quel type de véhicule ils veulent avant de le chercher sur internet.

Le segment des VO de moins de 2 ans est investi par les professionnels

64 % des VO récents, c’est-à-dire de moins de 2 ans, sont vendus par des professionnels, alors que pour les véhicules

plus anciens (plus de cinq ans)4, la part ne représente que 23 %. Technologiquement fiables et avec de moins en moins

de kilomètres au compteur, ces véhicules présentent plus que jamais un prix attractif.

Certains de ces véhicules reviennent sur le marché de l’occasion très rapidement après avoir été utilisés par les loueurs

de courte durée (environ 6 mois). Cette accélération du cycle de vie du VO peut provoquer un effet d’aubaine pour le

consommateur.

Les TPE-PME sont sensibles aux formules packagées, incluant, dans un même tarif, un ensemble de services comme l'assurance, l'entretien, les pneus, l'assistance... Elles ont besoin d'être traitées comme les grands comptes et de bénéficier des avantages que nous négocions grâce à notre dimension de loueur national"

Etape2

Macro economie/environnement

L'environnement des entreprises en France continue de freiner leur croissance et leur potentiel

d'exportation. Le «choc de simplification» annoncé par les autorités ne s'est pas encore traduit par

des mesures significatives pour les entreprises. Il existe encore une marge de manœuvre considérable

pour accroître la concurrence dans les services, avec des effets positifs sur les coûts intermédiaires.

Par ailleurs, alors que des ressources importantes ont été consacrées à la politique de l’innovation,

notamment pour le crédit d’impôt en faveur de la recherche et les pôles de compétitivité, les résultats

semblent modestes et l’efficacité de ces régimes devrait être réexaminée.

La crise financière mondiale a considérablement affaibli l'économie.

Dans un premier temps, les effets de la crise financière mondiale ont été moins spectaculaires en France que dans le reste de la zone euro. L'ampleur des stabilisateurs automatiques, l'absence de forte expansion du crédit avant la crise et le poids relativement limité des exportations (27 % du PIB en 2007, contre 42 % pour la zone euro) ont contribué à limiter l'impact du ralentissement brutal des échanges internationaux sur l'économie française en 2009. La consommation privée, qui a progressé constamment entre 2007 et 2010 au taux moyen de 0,7 % l'an, a contribué à alimenter la croissance économique. Par conséquent, alors que le PIB global de la zone euro (en volume) reste inférieur à son niveau de 2008, le PIB de la France a enregistré un recul moins important et est repassé au-dessus de son niveau de 2008 dès 2011 (Graphique 2.1).

INTERDEPENDANCE AVEC LES AUTRES ÉTATS MEMBRES DE LA ZONE EURO ET REPERCUSSIONS POTENTIELLES

3.2.1. Liens commerciaux et financiers entre la France et le reste de la zone euro

La France entre pour 22% environ dans la production globale de la zone euro et représente de ce fait une destination importante pour les exportations des autres pays membres de la zone. Comme le montre le graphique 3.4, la France est la principale destination pour les exportations des grands pays de la zone euro tels que l'Allemagne et l'Espagne (les exportations vers la France représentent approximativement 4% et 5% de leur PIB respectif) ou la seconde destination dans le cas de l'Italie (soit environ 3% de son PIB). En Belgique et au Luxembourg, les exportations vers la France représentent environ 17% du PIB. L'évolution de la demande intérieure en France a donc de fortes répercussions sur ses partenaires de la zone euro, et une chute brutale de cette demande provoquerait un ralentissement notable dans l'ensemble de la zone.

Tout au long de la crise, la France a acheminé les capitaux indispensables aux pays situés à la périphérie de la zone euro. La France, qui figurait déjà parmi les sources nettes importantes de flux financiers en direction des pays déficitaires, est devenue la source principale de financement dès lors que la crise a débuté et que les autres investisseurs se sont retirés. Ces flux ont principalement pris la forme d'instruments de dette. Après l'éclatement de la crise financière, cette exposition sur les régions périphériques de la zone euro s'est traduite par d'importantes moins-values, comptabilisées au portefeuille extérieur de la France.

Il existe une forte interdépendance entre le secteur bancaire de la France et celui d’autres pays de la zone euro. En 2012, les créances sur la France entraient pour près de 35% dans le PIB des Pays-Bas et du Royaume-Uni et pour quelque 20% dans celui de l'Allemagne et de la Belgique. En ce qui concerne plus particulièrement les obligations souveraines, 60 grandes banques non françaises de l'UE détenaient ensemble pour 75 milliards d'EUR de dette publique française en juin 2013.(7) Toute augmentation des taux de financement sur les titres français pourrait déclencher une révision à la baisse des prix de ces actifs qui aurait une répercussion majeure sur ces économies. Un choc de cette nature n'épargnerait pas non plus les banques françaises, en raison à la fois des volumes d'obligations françaises qu'elles détiennent et du coût du capital. Étant donné que les banques françaises possèdent près de 45% des engagements extérieurs

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