Les structures du système d'enseignement

UNIVERSITÉ

ACTIVITÉ SOMMATIVE 3.1

LES STRUCTURES DU SYSTÈME D’ENSEIGNEMENT

TRAVAIL PRÉSENTÉ À

DANS LE CADRE DU COURS

FEP11217-F1

ORGANISATION DE L’ÉDUCATION AU QUÉBEC ET FORMATION PROFESSIONNELLE

PAR x

NOVEMBRE

TABLE DES MATIÈRES

INTRODUCTION 3

Historique du syndicalisme enseignant au Québec 4

Le CSQ 5

Composition de la CSQ 5

Historique de la CSQ 5

Structures politiques de la CSQ 6

Création d’un Ordre professionnel des enseignants et enseignantes 7

Phases, étapes et processus du développement professionnel

des enseignants et enseignantes 9

CONCLUSION 11

RÉFÉRENCES 12

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INTRODUCTION

Être enseignant apporte son lot de responsabilités, mais aussi une sécurité syndicale et des directives claires au niveau ministériel et gouvernemental.

Dans ce module, nous ferons un survol historique du syndicalisme, ses origines, ses débats, ses divers changements et les améliorations apportées pour en arriver à aujourd’hui : la Centraie des syndicats du Québec (CSQ).

Nous verrons aussi de quoi se compose cette Centrale et de sa structure politique. Plusieurs paliers de dirigeants y sont au pouvoir afin de bien représenter la liberté d’expression et les besoins spécifiques de ses membres.

Depuis bien des années, un débat existe au sein de la population, qu’elle soit enseignante ou pas, qu’elle dirige le pays ou non : pour ou contre un Ordre des professionnel des enseignants et enseignantes au Québec. Je délibère de plusieurs points et j’y apporte mon opinion sur deux tableaux.

Ce travail se termine sur une note importante sur la responsabilité du corps enseignant et de l’établissement scolaire. Avant d’en arriver assis dans une classe, il y a des étapes à gravir, des formations à suivre, de l’aide à recevoir, de l’expérience à acquérir.

Et moi… où donc en suis-je avec tous ces sujets importants ? Certaines de ces volets auront une opinion bien illustrée.

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Historique du syndicalisme enseignant au Québec

L’histoire du syndicalisme des enseignants au Québec est séparée en 5 périodes[1] :

* La syndicalisation des enseignants (1845-1935)

* La consolidation du syndicalisme enseignant (1936-1967)

* La composition du front commun et son effritement (1968-1982)

* La réorganisation interne du mouvement syndical (1982-1999)

* Perspectives récentes (2000-2016)

Tout a débuté avec deux associations enseignantes en 1845 : l’Association des enseignantes et enseignants de Montréal (AEEM) et la Société des instituteurs du district de Québec (SIDQ) qui change 4 ans plus tard pour l’Association de la bibliothèque des instituteurs du district de Québec (ABIDQ). Par la suite, ce sont les institutrices qui se sont regroupées pour créer des associations.

En 1919, enseignants et enseignantes sont groupés dans différentes associations : l’Association du bien-être des instituteurs et des institutrices de l'Île de Montréal et l’ Alliance catholique des instituteurs et institutrices de Montréal (après le refus de la Commission des écoles catholiques de Montréal de négocier avec une organisation syndicale) se changeant pour l’Alliance catholique des professeurs de Montréal (ACPM) en 1922. Les institutrices étant blasées de se faire mettre à pied et réengager à chaque nouvelle année scolaire (impact de l’économie financière des Commissions scolaires) fondent la Confédération des travailleurs catholiques du Canada (CTCC) (devenue en 1960 la Confédération des syndicats nationaux, CSN). En 1967, la CIC devenue la CEQ (Corporation des enseignants au Québec) entreprend sa première négociation syndicale qui donne lieu à la loi spéciale réprimandant les enseignants en grève. En 1974, la CEQ change de « corporation » à « centrale » et tente d’unir le domaine de l’enseignement autant privé que public avec celui de la santé et des services sociaux. En 2000, la CEQ change de nom pour la Centrale des syndicats du Québec (CSQ).

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Le CSQ

Composition de la CSQ

La CSQ regroupe du personnel enseignant, professionnel et de soutien des commissions scolaires, des cégeps et des universités, des intervenantes en services de garde, des infirmières et du personnel du secteur de la santé et des services sociaux ainsi que des travailleuses et des travailleurs des communications, du communautaire, du loisir et du municipal. [2]

La CSQ, avec plus de 200 000 membres (en 2014) dont 130 000 environ sont des enseignants et enseignantes, se compose de plus de 8 fédérations en Éducation, 2 fédérations en Santé et services sociaux et 1 fédération dans le secteur de Loisir et culture. Deux associations aussi en font partie au niveau des Retraités de l’éducation et d’un Groupe de négociation avec la FSE. On y retrouve 8 différents syndicats, et une Alliance des intervenants en milieu familial.

La CSQ compte en ses rangs environ 75 % de femmes et 30 % de jeunes âgés de moins de 35

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