Les morts qui ont eu lieu au milieu de la bataille vendredi matin entre les carabiniers / la police italienne et un groupe d'activistes (militants)
Commentaire de texte : Les morts qui ont eu lieu au milieu de la bataille vendredi matin entre les carabiniers / la police italienne et un groupe d'activistes (militants). Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar ploplo • 11 Janvier 2014 • Commentaire de texte • 312 Mots (2 Pages) • 883 Vues
Sur la Piazza Alimonda à Gènes, tout était réuni (tout était en place) pour qu’une épouvantable tragédie se produise (ait lieu). De la fumé s’échappant de poubelles en feu se mélangeait au gaz lacrymogène et à l’odeur pestilentielle/ puanteur âcre provenant/émanant de la carcasse encore fumante d’un fourgon de police à proximité de Corso Torino. Des voitures calcinées bordaient les rues. Un distributeur automatique de billets a été arraché d’un mur, des banques et une agence immobilière vandalisée et des magasins avaient été pillés. Les gilets pare-balles de fortune confectionnés à partir de bouteilles en plastique et de ruban adhésif, souillaient les rues. Toutes silhouettes en uniforme devenaient une cible pour certains protestataires, d’autres non-violents/pacifistes ainsi que des journalistes devenaient de proies idéals pour certains représentants de l’ordre.
Il était inévitable qu’il y ait des blessés. Il était probable qu’il y ait des morts, ce qui eut lieu au milieu d’une bataille rangée vendredi en fin de journée opposant les carabinieri/ la police italienne à un groupe d’activistes (militants engagés), lesquels isolèrent un véhicule de police, bloquant l’avant contre un mur, brisant les vitres à coups de pierres, à l’aide de planches (en lançant des pierres, des planches) et tout ce qui leur tombaient sous leurs mains y compris un extincteur manipulé par un manifestant de 23 ans du nom de Carlo Giuliani. Dans une séquence vidéo fimée/prise par un photographe de l’agence de press Reuteurs, on y voit le jeune homme le visage cagoulé, brandir l’extincteur, apparemment avec l’intention de le projeter à travers la vitre arrière déjà brisée du véhicule. Un policier pointe avec son arme à travers la vitre et Giuliani s’écroule à terre, saignant abondamment de la tête. Le véhicule recule, roulant sur le corps gisant à terre et s’éloigne sur les chapeaux de roues. Des témoins ont rapporté qu’ils avaient entendu deux coups de feu.
...