Les Addictions
Mémoire : Les Addictions. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar esteban.lorant • 15 Mai 2022 • Mémoire • 1 381 Mots (6 Pages) • 401 Vues
GRANDE CONCLUSION EXPOSÉ S.E.S
- L’accessibilité à toutes ces addictions :
L'accessibilité à tous ses addictions chez les jeunes était une raison de leur dépendance face à ces
dernières. L'accès aux médicaments et des traitements de substitution tels que la méthadone , la
subutex et la buprenorphine (ce sont des médicaments opioïdes que l'on utilise pour soulager les
douleurs graves et la dépendance aux opioïdes) y contribuent également. L'addiction peut engendrer
d'autres addictions et conduire à l'intoxication par les drogues si elle persiste. En effet, pour certains
jeunes, le tabac, l'alcool et la drogue sont vus comme des moyens d'échapper à la réalité.
Dans un premier temps, on observe une prévalence de 9 % d'addiction chez les adultes et de 3 %
chez les adolescents. Surtout pour les hommes des âges 18 à 24 ans. Une prévalence maximum chez
les 35-44 ans.
Le tabac et l'alcool sont les substances qui provoquent le plus de dépendance et d'addictions.
L'alcool, l'héroïne ou la cocaïne, et le tabac, l’opium (opioïdes). Cependant on recense des méfaits
avec la drogue importée: le cannabis, la MDMA et les amphétamines.
Mais, le tabac est la substance la plus présente dans notre société. Autant à l’âge adulte que dans le
cas des adolescents. Mais ne négligeons pas l'alcool dont les consommateurs se nourrissent depuis
la maternelle jusqu'à l’âge adulte.
Les mesures de préventions et soins apportés à ses addictions :
Qu’est-ce que la prévention ?
La prévention vise à empêcher la naissance et le développement d’une consommation de
substances psychoactives (alcool, tabac, substances illicites), susceptible d’induire des
risques pour soi, pour les autres et pour la collectivité. Les actions de réduction de l’offre
et d’application des lois et règlements participent aussi d’une stratégie globale de
prévention.
Comment protéger les plus jeunes ?
METTRE UNE IMAGE EN RAPPORT AVEC CHAQUE THÈME
- Fixer des objectifs correspondant aux niveaux de consommation et aux modes de consommation des jeunes
Mettre schéma
- Promouvoir des programmes validés s’appuyant sur des normes et des guides méthodologiques
- Promouvoir l’acquisition de compétences dites « psychosociales » à l’école
Les « compétences psychosociales » (CPS)
Les CPS sont un ensemble de ressources psychologiques et d’aptitudes sociales. Elles
permettent de maintenir des comportements favorables à sa santé, de répondre avec
efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne dans les relations avec
autrui, sa culture et l’environnement.
- Promouvoir des stratégies de prévention adaptées aux jeunes présentant des
facteurs de vulnérabilité.
Les stratégies qui ciblent des jeunes présentant des facteurs de vulnérabilité
particuliers, tels que les enfants dont les parents souffrent de problèmes de
consommation de substances psychoactives, permettent de se concentrer sur
des facteurs de risque bien précis. Ces stratégies ciblées peuvent donner
de bons résultats chez les jeunes, soit en groupe (prévention sélective), soit
individuellement (prévention indiquée).
- Promouvoir des programmes de renforcement des compétences familiales.
Le programme SFP de renforcement des familles (10-14 ans)
Le programme de renforcement des familles (SFP 10–14, Strengthening Families
Programme) est un programme universel et validé par des données probantes qui
s’adresse aux familles dont les enfants ont entre 10 et 14 ans.
Sept séances de deux heures sont proposées aux jeunes et aux parents, séparément et
ensemble, pour leur apprendre à mieux communiquer au sein de la famille et résister aux
influences et pour prévenir la consommation de substances psychoactives chez les
jeunes.
Une évaluation rigoureuse du programme, effectuée dans des conditions contrôlées et
dans des conditions réelles (Serbie en 2013) en a démontré l’efficacité à plus long terme.
- Sensibiliser les jeunes et le grand public à la vulnérabilité particulière du cerveau
de l’adolescent.
L’Expertise collective Inserm « Conduites addictives à l’adolescence » parue en 2014
recommande d’informer et de sensibiliser le grand public et les différents acteurs
concernés (jeunes, parents, intervenants du secteur scolaire, parascolaire et médical...) à
la vulnérabilité particulière du cerveau de l’adolescent. Elle préconise de renforcer les
messages décrivant l’impact durable sur la santé, et en particulier sur le cerveau, d’une
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