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Le métier de SCFP

Étude de cas : Le métier de SCFP. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  1 Janvier 2017  •  Étude de cas  •  2 650 Mots (11 Pages)  •  423 Vues

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  1. Le métier de SCFP englobe la fabrication et commercialisation du prêt à porter

  1. SCFP appartient au secteur du prêt à porter qui est un secteur très concurrentiel où multitude d'enseignes cohabitent et essayent de rester debout dans cet océan que représente l'activité de l'habillement. Les canaux de distribution et de vente des produits en prêt-à-porter ont beaucoup évolué depuis leur naissance. Il faut aussi ajouter le grand développement que connaissent les franchises, avec un repositionnement des gammes et aussi l'apparition de nouveaux concepts essayant de se démarquer de la concurrence.

Le repositionnement constant des stocks en magasin est un facteur important du prêt-à-porter afin de satisfaire la clientèle actuelle qui est en demande de changement constant. Le marché du prêt-à-porter ne travaille plus avec un modèle de « deux collections par an ».

  1. Le problème de gestion de SCFP se base sur la difficulté d’accompagnement de sa croissance. (satisfaction de client)
  2. Les conséquences de ce problème est l’impact négative qu’il a sur le service client principalement au niveau des nouveautés (innovation)
  3. Les causes sont la difficulté d’assurer un niveau élevé de disponibilité des produits vendus et maîtriser les coûts ce qui permettra d’offrir un prix de vente compétitif et gagner de nouvelles parts de marché. (mono source)
  4.  La solution apportée par SFCP est le fait de gérer les fournisseurs les plus importants sur la base de partenariats (gagnant-gagnant) d’une durée de deux ans au minimum et de cinq ans au maximum. (les clauses li zado)
  5. Cette solution est efficace car elle permet de garder une stabilité des prix depuis les cinq dernières années malgré l’augmentation des prix de l’énergie et de certains intrants.
  6. les inconvénients :
  • La relation de partenariat demande un gros investissement de temps pour sa mise en place et s'inscrit dans la durée. Une relation durable appelle donc à un échange constamment surveillé et de confiance ce qui peut être difficile à trouver dans le monde des affaires. Lors de la mise en partenariat, on voit donc au minimum à moyen terme voire à long terme.
  • Dans le cadre d'un partenariat, il devient plus aisé de faire produire selon ses spécifications. Cependant, on perd aussi un peu de la veille technologique qui était faite préalablement. Le client perd ainsi la connaissance du marché qu'il pouvait avoir auparavant, faisant confiance à un partenaire peut-être pas aussi efficace que ce qu'il le devrait.
  • un partenariat s'inscrit dans la durée et il est dur et fastidieux à mettre en place. Ainsi, il sera plus difficile de s'en séparer, tant l'investissement de départ est important. L'inconvénient majeur dans cette situation est clair. Si le partenaire a une baisse de compétitivité par rapport au secteur, il sera plus dur pour le donneur d'ordres de choisir de se séparer de son partenaire et ainsi garder un fournisseur qui devrait normalement ne plus traiter avec le donneur d'ordres dans une optique de strict profit.
  • Comme son nom l'indique, le partenariat est une coopération. De plus, et dans une optique de profits toujours plus élevés, chacun doit y avoir un intérêt, le plus souvent pécuniaire. C'est ainsi que lors de la signature de contrat, le problème du partage des bénéfices entraînés par cette coopération puisse causer des problèmes.

Les avantages :

  • avoir un partenaire permet une réactivité bien plus vive du fait de l'absence du besoin de recherche de fournisseurs quand il en est question. De cette façon, on peut être plus réactif à la demande et mieux satisfaire les clients. Le partenariat permet donc d'économiser les frais de recherche et ainsi bénéficier de surcroît d'un délai de réactivité raccourci.
  • Deuxièmement, dans une situation industrielle ou le temps représente beaucoup d'argent et ou pouvoir produire et une question essentielle pour répondre au plus juste à la demande sans pour autant multiplier les stocks, l'approvisionnement joue un rôle clef. Ainsi, le partenariat agit en ce sens et permet de se garantir par contrat des approvisionnements prioritaires de la part de ces fournisseurs coopérant.
  • Troisièmement, qui dit partenariat dit aussi une entente sur les volumes. Ainsi, il est facile d'imaginer qu'une coopération s'inscrivant dans le long terme engendre un Chiffre d'Affaires important qui peut justifier de la part de l'exécutant des concessions sur ces marges. En résulte donc pour le donneur d'ordres des prix plus intéressant.
  • Quatrièmement, et là nous touchons à ce qui est peut être un des avantages majeurs du partenariat : la qualité et le service. En tant que partenaire, le donneur d'ordre a un droit de regard sur la qualité des fabrications du sous-traitant et peut le forcer à se soumettre aux lois de qualité telles que ISO 9000 series et autres normes internationales. Il a de plus un contrôle sur l'activité de l'exécutant en tant souvent que donneur d'ordre privilégié. Il résulte aussi de ce genre de partenariat des services sur mesure pour le donneur d'ordre, des délais beaucoup plus courts et réguliers et aussi. Il en résulte aussi un meilleur dialogue menant à une meilleure perception par le sous-traitant des attentes du donneur d'ordres de par la mise en commun de certaines activités notamment la conception et toute la phase de réflexion. Le sous-traitant peut ainsi devenir un conseiller car mieux informé que le donneur d'ordre dans son domaine.

9) Les risques achat :

Métier (internes)

Industriels, qualité et logistiques

économiques

Financiers

Légaux

  • Performance
  • Opérationnels
  • Portefeuille
  • Processus et
    contrôle interne
  • Partenariats
    fournisseurs
  • Le risque logistique tel que les retards de livraison et contraintes douanières (Puisque la production est faite en Asie)
  • Risque de non qualité d’un modèle de sac d’emballage (Non approbation de l’échantillon de la part du personnel).
  • Risque de perte du fournisseur en faveur d’un concurrent (ZARA).  
  • Risques pays : Notre fournisseur produit en ASIE cela représente un grand risque vu les tremblements de terre au Japon par exemple.
  • Risques macroéconomiques : Augmentation du prix, change.  
  • Prix : Non-respect des tarifs contractuels ou variations inattendues et imprévisibles liées aux matières premières.
  • Non-paiement d'un fournisseur  de notre fournisseur entrainant des intérêts de retard et des sanctions.
  • Dépendance financière du fournisseur, rupture abusive et gestion des fins de relations commerciales
  • Absence d'assurances  du fournisseur entrainant la non couverture d'un sinistre.

 10) Les clauses contractuelles recommandez-vous à SFCP pour se couvrir des
risques :

déterminer les obligations des parties : obligation de moyens / obligation de résultats

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