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Le foot, le match de Paris Saint-Germain

Cours : Le foot, le match de Paris Saint-Germain. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  7 Mars 2013  •  Cours  •  390 Mots (2 Pages)  •  851 Vues

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Dans la douleur, le Paris Saint-Germain s'est qualifié pour les quarts de finale de la compétition, mercredi au Parc des Princes, en éliminant le ...Dans la douleur, le Paris Saint-Germain s'est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des champions, mercredi au Parc des Princes, en éliminant le Valence CF. Vainqueurs 2-1 en Espagne, les Parisiens ont concédé le match nul à domicile (1-1), Ezequiel Lavezzi ayant égalisé après l'ouverture du score de Valencian Jonas en seconde période.

Son PSG ayant fait le plus dur en l'emportant à l'aller, Carlo Ancelotti rêvait sans doute qu'il ne se passerait rien dans ce huitième de finale retour. A la mi-temps, son rêve était exaucé, et ses troupes qualifiées. Privé d'Ibrahimovic, de Verratti et de Ménez, le PSG abordait en gestionnaire de fortune les quarante-cinq premières minutes, laissant le ballon à leur adversaire, jouant à domicile comme à l'extérieur, en espérant un contre par-ci par-là. Les occasions se faisaient rarissimes, d'un côté comme de l'autre, lors d'un match suffisamment pauvre pour faire monter quelques sifflets des entraves d'un Parc des Princes à peine plus enthousiaste que ses protégés.

MERCI LAVEZZI

Conscients qu'ils avaient un joli coup à jouer, les Espagnols revenaient des vestiaires avec la ferme intention d'entrer en quart par la fenêtre, et de faire mentir les statistiques qui ne leur donnaient que 5 % de chances de se qualifier après la défaite à Mestalla. Le Brésilien Jonas sonnait la charge en ouvrant la marque à la 55e minute, d'une superbe frappe décochée de l'entrée de la surface. Chamboulés, secoués, les Parisiens sentaient le gouffre se dessiner alors que ce match retour ne devait être qu'une formalité.

Carlo Ancelotti en oubliait la prudence, se disant finalement qu'il serait utile que son équipe joue un peu au football. Le technicien italien, double vainqueur de la Ligue des champions, lançait donc Kevin Gameiro pour offrir un soutien offensif à un Lavezzi esseulé, abandonné par un Lucas fatigué et un Pastore devenu défenseur. La chance souriant aux audacieux, même les plus timides, Lavezzi héritait d'un ballon repoussé par les défenseurs adverses après un déboulé de Gameiro, pour tromper le portier espagnol en deux temps (1-1, 66e). Tout le Parc sautait de joie et de soulagement mêlés, célébrant l'Argentin devenu en quelques mois la pièce maîtresse de l'attaque parisienne sur la scène européenne (cinq buts pour l'ancien Napolitain).

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