Le cercle des poètes disparus

MON AVIS SUR LE CERCLE DES POETES DISPARUS[pic 1]

Le cercle des poètes disparue est un film américain, réalisé par Peter Weir, sortie en 1989, dans lequel on peut retrouver Robin Williams dans un rôle principal.

L’histoire débute dans les années 60, lorsque le professeur de lettres, Mr. Keating, fait son entrée au collège de Welton, un collège strict d’excellence, où il avait lui-même été diplômé. Il va proposer de nouvelles méthodes d’apprentissage plus modernes qui vont tous de suite plaire aux élèves et va même réussir à les faire aimer la poésie. Un groupe d’élèves va effectuer des recherches sur ce nouveau professeur et ils vont découvrir qu’il faisait partis d’un groupe de poésie : le cercle des poètes disparus. La bande d’amis décide de recréer le groupe. Ils se réunissent toutes les semaines dans une grotte hors du collège pour lire des poèmes. Grâce à ce groupe de poésie, Neil Perry, un des élèves faisant parti du groupe, va trouver le courage de vivre sa passion pour le théâtre, au détriment de son père qui lui interdit formellement d’en faire. Cette décision va bouleverser sa vie, celle de ses amis et de Mr. Keating.

Dans ce film, tous les personnages ont leurs places. Ils apportent tous quelque chose à l’histoire et leur groupe d’amis est complémentaire, ils sont très fusionnels et peuvent compter les uns sur les autres. On peut le remarquer notamment avec la scène de chamaillerie dans la chambre de Neil et Todd qui est filmé en plan fixe. Les acteurs tournent autour de la caméra et cela donne l’impression de faire partie du film, de ne pas être seulement spectateur.

Le personnage de Neil Perry m’a particulièrement touché. Il a eu le courage de désobéir à son père pour vivre son rêve. Son père le voyait devenir médecin mais lui voulait être acteur et avec les conseils que Mr. Keating donnait pendant ces cours, Neil a décidé de se lancer dans le théâtre. Lorsque son père l’apprit, il se mit dans une colère noire et le menaca. Mais Neil ne l’écouta pas et joue quand même cette pièce de théâtre. Son père assista à la pièce mais lorsqu’elle fu finit, il ramena Neil chez eux et le désinscrit du collège Welton. Dans la nuit, Neil commettra l’irréparable et se suicide d’une balle dans la tête. Le plan est filmé pour que nous ne voyons que ce qu’il faut, ni trop ni pas assez.

À la suite de sa mort, une enquête est lancée pour savoir qui est le responsable, quelles étaient ses motivations pour commettre cet acte ? Le directeur déclara, après avoir écouté les témoignages des élèves, des parents de Neil et des professeurs de Welton, que le responsable était Mr. Keating. De part ces méthodes d’enseignement anticonformiste, il aurait influencé Neil à faire du théâtre, ce qui l’aurait ensuite poussé au suicide. Le professeur est donc par la suite renvoyé mais sa scène d’adieu au près des élèves est très touchante. Ils se mettent à monter sur les tables en criant « Ô Capitaine ! Mon Capitaine ! ». La musique ajouté rajoute de l’émotion à la scène, mais également les gros plans sur chaque visage.  

Le professeur Keating aide ces élèves à persévéré, croire en eux, en leurs rêves contrairement au reste du film qui montre le manque de courage ou l’injustice. On peut observer le manque de courage lorsque certains élèves ne diront pas la vérité quant à la raison de la mort de Neil pour ne pas se faire exclure. Ou encore lorsque la mère de Neil ne l’a pas défendu face à son père, elle aurait pu lui sauver la vie mais elle s’est tue et a donné raison à son père.

 J’ai beaucoup aimé ce film malgré le fait que le thème principal soit la poésie. J’ai été surprise de l’aimer parce que généralement je n’accroche pas avec la poésie. Il m’a fait réfléchir au sens de la vie et à comment nous devons la vivre. Il faut profiter pour ne rien regretter. Je me suis attachée aux personnages, qui étaient tous différents mais qui se complétais.

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