Le Rire Est défini De Plusieurs Manières Par Des Journalistes régionaux

Le rire est défini de plusieurs manières par des journalistes régionaux, dans des émissions télévisées, par des humoristes. Il existe également des personnages tel que Polichinelle origine des rires. Les monologuistes nous amène à rire par la dénonciation de fait de société.

Le journal « La Provence » du 16 mars 2009 présente cinq personnes : Eric Cantona, Fabien Barthez, Jean-Pierre Papin (représentant du monde du football), Me Collard (avocat), Bernard Tapie (dirigeant d’entreprise, hommes d’affaires ayant cotoyé le monde du football- soutien de l’Olympique de Marseille), personnages difformes en contradiction avec leur statut professionnel.

Tel Polichinelle dont Emile Littré en donne cinq définitions tout à fait controversé. Le personnage de farces napolitaines est un paysan balourd ayant deux bosses rejoignant les traits physiques des guignols de l’info dont M. Olivier Mongin dans « Eclats de rire » dans la collection « La Couleur des idées » parue au Seuil en 2002 met en scène Devos où le corps est maladroit et toujours au bord de l’épuisement.

Comme Polichinelle dit des vérités de son entourage, les Guignols de l’Info en colporte également par leurs faits et gestes en amenant ceci à la dérision.

Les Provençaux révèlent des « secrets de Polichinelle » connus du monde entier. Ils sont relatés dans la presse quotidienne et traduit par l’humour. Polichinelle se distingue par le son de sa voix chevrotante et aiguë tandis que les Guignols de l’Info par leur rang social.

Devos se met à définir le comique contemporain se complaisant à rire des vannes d’autrui. Il rejoint la pensée de Nelly Feuerhahn, « quand dire c’est faire…rire » in La Comédie sociale, Presse Universitaire de Vincennes 1997 où le comique parle de ces mésaventures. Elle décrit la vie quotidienne de tout le public insatisfait, se plaignant du monde politique, de la société de consommation, de la vie de couple,… Elle dénonce nos attitudes marquées par notre indifférence face aux personnes marginales tel les homosexuels, les immigrés et les malades mentaux. Devos s’entretient également avec une personne allée dans l’imaginaire, il veut qu’il lui montre le chemin. La seule façon de vous le montrer est de me suivre, lui répondit-il. Par le rire Devos nous fait comprendre qu’il ne faut pas avoir peur des personnes différentes ceci rejoint la pensée de Mme Feuerhahn. Elle essaie de nous faire rire de nos travers excluant les marginaux par peur. Si l’on rit de nos travers c’est que les exclus méritent notre sympathie et ne seront plus tellement.

Les humoristes actuels ont-ils une influence sur l’opinion ?

Les humoristes actuels dans leurs sketches parlent souvent de faits dérangeant pour la société. Ils mettent en scène les exclus tel les homosexuels, les immigrés, les malades mentaux. Nous les jugeons. Nous voulons souvent un stéréotype de société inexistante. En nous mettant en scène par nos travers, les humoristes arrivent à influencer notre vision des choses et rendant humains les exclus de notre société.

Mme Anne Roumanof dans son sketche du chauffeur de taxi chinois à Paris le rend sympathique par son accent qu’il a gardé malgré sa vie à Paris. Il parle d’intégration et de racisme bien que lui-même ne se soit pas intégré. Il a

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