Le PIB

Question n°1

Dans la note de conjoncture étudiée, on peut constater que celle-ci porte sur plusieurs variables qui sont les suivantes :

1 : La croissance 2 : Le PIB 3 : La production 4 : Le pétrole 5 : Chômage

6 : Consommation des ménages 7 : Commerce extérieur (mondial) 8 : L’investissement (ménages)

9 : La masse monétaire 10 : L’emploi 11 : L’inflation 12 : L’investissement (entreprises)

13 : Les salaires 14 : Le climat des affaires 15 : Prix à la consommation 16 : Les salaires

17 : Revenus des ménages 18 : Pouvoir d’achat 19 : Taux de marges (entreprises)

20 : Comportement des ménages

Les variables conjoncturelles, sont celles qui ont lieu sur un court terme, à un moment donné.

Tandis que les variables structurelles, quant à elles, ont lieu sur une plus longue période, elles permettent d’évaluer la structure de l’économie sur son fonctionnement habituel.

En plus de pouvoir les classer par rapport à leur nature structurelle ou conjoncturelle, il est aussi possible de définir celles qui sont quantitatives et autres qualitatives.

Question n°2

VARIABLES CONJONCTURELLES VARIABLES STRUCTURELLES

La croissance (quantitative)

Le PIB (quantitative)

Le pétrole (quantitative)

Chômage (quantitative)

Consommation des ménages (quantitative)

Commerce extérieur, mondial (quantitative)

L’investissement des ménages (quantitative)

Prix à la consommation (quantitative)

La masse monétaire (quantitative)

L’emploi (quantitative)

L’inflation (quantitative)

Les salaires (quantitative)

Revenus des ménages (quantitative)

Pouvoir d’achat (quantitative)

La production (qualitative)

L’investissement des entreprises (qualitative)

Le climat des affaires (qualitative)

Taux de marges des entreprises (qualitative)

Comportement des ménages (qualitative)

Question n°3

Concernant l’économie française, on retrouve une évolution plutôt positive malgré quelques aléas au cours des mois suivants.

Avec un climat des affaires en progrès, une meilleure situation financière des entreprises, cela permettra aux entreprises d’accélérer leurs dépenses en terme d’investissement productif.

L’activité se verra augmenter et entrainera une augmentation de la croissance en emplois.

La baisse du prix du pétrole ainsi qu’une demande extérieure à la hausse avec jusqu’à +1.4%, permettra une amélioration de la croissance, ainsi qu’aux consommateurs d’avoir un meilleur pouvoir d’achat et donc d’augmenter les dépenses de ceux-ci.

Le pouvoir d’achat des français sera revu à la hausse avec un taux de +1.2 % grâce à l’augmentation des revenus qui est passée de +0.9% à +1.3%. Ainsi qu’une augmentation d’1.0% de leur consommation.

Cependant, il est important de noter qu’il y a aussi des points négatifs prévus par l’INSEE pour la France.

La croissance en emploi augmentera, mais avec une population active en augmentation, cela entrainera une nouvelle augmentation du taux de chômage avec 10.6%.

Il y aurait également une forte baisse des dépenses dû au climat, en

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