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Le Loup-garou Du Campus

Note de Recherches : Le Loup-garou Du Campus. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Février 2013  •  1 496 Mots (6 Pages)  •  690 Vues

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C’est l’histoire d’un collégien qui devait entrer en année de troisième, et que ses parents avaient décidé de placer en internat, car ils voulaient qu’il se penche pleinement sur ses études, donc ils décidèrent qu’il irait au Collège Léonard de Vinci à partir de la rentrée prochaine, ce collège se trouvant entouré de la forêt de Montmorency qui était interdite d’accès aux élèves, et pour se faire, des fils barbelés avaient été placés tout autour de l’internat, car la forêt était dite dangereuse, infestée d’animaux sauvages, avec un énorme portail qui bloquait la seule route menant à l’extérieur.

Mais des élèves, dont il faisait partie, trouvèrent un endroit où les fils étaient très mal mis, et donc faciles à enjamber et firent l’erreur d’y aller. A peine une heure après qu’ils aient commencé l’exploration de la forêt interdite, certaines personnes disaient déjà qu’ils regrettaient d’avoir entrepris cette exploration, ce qui irrita l’autre partie du groupe. Après des disputes incessantes les deux groupes décidèrent d’un commun accord de se séparer, un groupe qui avait dans l’idée de retrouver leur chemin pour quitter cette forêt, tandis que l’autre groupe continua l’exploration. Le premier groupe, à leur grand soulagement, retrouva sans grande difficulté l’internat, mais pas sans haut de cœur lorsqu’ils entendirent des bruits de pas, ainsi que des respiration accéléré. Mais le deuxième groupe (dont notre protagoniste faisait parti) fit l’erreur de ne pas chercher de sortie et finit par céder à la peur. Le groupe s’arrêta, exténuer a force de marcher, il n’échangèrent pas plus de deux phrases, tellement ils avaient peur et étaient fatigués. Puis petit à petit ils commencèrent tous à sentir que quelque chose n’allait pas, ils entendaient des branches craquées, des feuilles froissées, ils regardaient dans chaque direction, ne comprenant d’où pouvait provenir ces sons. Puis ils virent une bête sortir d’une fougère, un loup, et juste derrière se tenait un homme qui souriait, un sourire composé de dents plus pointus qu’un rasoir, l’on pouvait apercevoir au bout de ses doigts des ongles pointus, aiguisés, faits pour trancher la chair. Et puis plus rien, en un clignement d’œil ils, l’homme et l’animal, avaient disparus. Quelques instant après ils entendirent les mêmes bruit qu’avant de voir l’homme et sa bête, mais cette fois si ils étaient beaucoup nombreux et faisaient un bruit tel qu’on aurait sûrement pu l’entendre depuis l’internat. Et la, la peur les envahit, la ou ils avaient vu l’homme et le loup, il y avait maintenant une bonne dizaine de loup prêt à foncer au premier geste suspect de l’un d’eux.

Notre protagoniste allait exposer ses craintes aux autres, mais il n’en eu pas le temps, ses compagnons d’exploration couraient déjà, prêt à tout pour sauver leur peau. Voyant que les loups allaient se mettre à la poursuite des fuyards, il se mit lui aussi à courir à toute jambe, mais il ne courait pas assez vite par rapport au loups qui étaient habitué à chasser dans la forêt, et ses camarades avaient pris une bonne avance, ils n’étaient presque plus visible.

Il sentit avec effroi une main lui serrer le poignet, c’était l’homme de tout à l’heure, il lui fit faire volte-face et lui enfonça ses dents dans la chair, il s’évanouit presque aussitôt avec un sentiment de désespoir de ne plus revoir le jour. Puis se fut le noir, jusqu’à se qu’il se réveille dans la peau d’un des loups, il se dit qu’il était en train de rêver, mais ce rêve se transforma vite en cauchemar, il voyait à travers les yeux de la bête et il vit qu’elle rattrapait ses amis, quoi de plus normal ? Cela devait faire pas mal de temps qu’ils couraient, et déjà qu’ils étaient fatigués avant de courir, maintenant ils devaient être lessivé. Le protagoniste vis avec horreur la bête qu’il incarnait, pendant son rêve, se redresser, et sauter sur ses amis, tous sans exception étaient visé et ils tombèrent les uns après les autres, puis, lorsqu’il ne restait que deux de ses amis debout, sachant qu’ils étaient six, l’un réussit à assommer la bête avec une grosse pierre, alors qu’elle s’apprêtait à frapper l’autre encore debout. A ce moment la ce fut le vide, combien de temps cela durera-t-il ? Sa il ne le savait pas.

Il se réveilla, avec des courbatures, ligoté, avec ses compagnons qui le fixaient d’un œil mauvais, il ne comprenait pas ce qu’il se passait, il ne souvenait de

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