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L’analyse et la décomposition des tâches

Étude de cas : L’analyse et la décomposition des tâches. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  20 Février 2016  •  Étude de cas  •  965 Mots (4 Pages)  •  643 Vues

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Question 1:

L’entreprise utilise l’analyse et la décomposition des tâches.Le chemin spécifique est clair et détaillé et un horaire précis doit être respecter. On reconnaît là le résultat d’une recherche de la meilleure méthode pour réaliser une tâche, à partir de la détermination scientifique des temps et des modes opératoires et de leur prescription par l’encadrement (planification du travail au moins un jour à l’avance, instructions écrites complètes, ...). L’extrait suivant en fait la démonstration : «Les réclamations soumises au service des réclamations-médicament suivaient un cheminement séquentiel spécifique qui commençait au service du courrier. (Figure 2)» (Atkinson, s.d./1999, p.3)

La notion de formation est appliquée, le suivi et le contrôle sont assumés de façon régulière par le supérieur hiérarchique. En effet, les extraits suivants font la preuve que les employés reçoivent des formations et que le suivi et le contrôle sont assurés tel que démontré par les propos de M. Blanchette : «Nous avons investi des milliers de dollars en formation interne et j’ai envoyé tous les commis aux réclamations suivre des cours de saisie et de traitement de données.». «Ils ont tous eu 10 heures de formation intensive. (...) Nous leur avons expliqué pourquoi nous devions implanter ce système et nous leur avons donné la formation requise.» (Atkinson, s.d./1999, p.10).

«J’ai perdu le compte du nombre de mémos que j’ai envoyé à tous les commis aux réclamations pour leur souligner qu’il ne font pas du bon travail. (...) leur rappeler que leur travail laisse encore à désirer et qu’ils vont devoir s’améliorer.» (Atkinson, s.d./1999, p.11)

Question 2:

Henri Fayol a établi les 14 principes suivants : la division du travail, l’autorité et la responsabilité, la discipline, l’unité de commandement, l’unité de direction, la subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général, la rémunération, le degré de centralisation, la hiérarchie, l’ordre, l’équité, la stabilité du personnel, l’initiative et l’union du personnel. Selon lui, si un directeur suit ces principes d’administrations, il réussira a bien diriger son entreprise tout en ayant la satisfaction de ses employés et la productivité qu’il souhaite avoir.

Selon moi M. Blanchette, directeur du services des réclamation/médicaments, n’adhère pas entièrement aux principes de Fayol. L’extrait suivant, tiré de la déclaration de M. Blanchette, représente bien le principe du droit de donner des ordres et au pouvoir de les faire exécuter, en utilisant les sanctions applicables selon les actes posés (l’autorité et la responsabilité): «Alors, j’ai envoyé un autre mémo (...) il fallait augmenter la vitesse de traitement et éliminer les erreurs(...).J’entends bien changer les choses et améliorer la performance (...) tant pis s’il faut congédier chacun des commis du service pour y arriver!» (Atkinson, s.d./1999, p.11).

L’unité de commandement est représenté par l’organigramme de la division médicale (figure1, Atkinson, s.d./1999, p.2)., selon lequel chaque personne ne dépend que d’un seul chef.

La liberté de proposer et d’exécuter sont partie prenante de l’initiative.

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