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La mémoire de l'eau, Ying-Chen

Étude de cas : La mémoire de l'eau, Ying-Chen. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  30 Mars 2019  •  Étude de cas  •  705 Mots (3 Pages)  •  631 Vues

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L’aliénation

écrit par : Rifaat Maudhoo

Au cours du roman de Ying-Chen « La mémoire de l’eau », plusieurs thèmes sont présentés, parmi ses thèmes s’introduit l’aliénation. On définit l’aliénation étant l'état ou une expérience d'être isolé d'un groupe qu’on devrait supposément appartenir ou dans lequel on devrait être impliqué. Elle est un thème omniprésent comme la description constante de l’eau dans le récit. Cette isolement et exclusion est impliqué économiquement, culturellement et politiquement dans l’intrigue.

Pendant la période du féodalisme, ont retrouver une hiérarchie des différentes classes. Parmi ces classes se retrouver les pauvres, les moyens et les riches dont ont les nommé aussi les nobles ou les bourgeois. La Chine en 1910 séparer donc ainsi les différentes castes. Durant les millénaires suivants, ce système a été en grande partie maintenu sous cette forme, avec quelques modifications et ajouts, bien que le contenu ait constamment évolué. Le dernier système définissant les différents titres de noblesse a été créé sous la dynastie Qing. Dans le récit écrit par Ying-Chen nous pouvons déterminer l’exclusion des personnes des classes moyennes ou basses. Le récit nous montre que les classes sociales ont une grande portée dans la vie des gens à cette époque, comme la tragédie d’amour de Ping et Ging, : Lei-Fei interdit le mariage, puisque Ping n’était qu’une fille commune modeste. En addition, l’opération de Lei-Fei fut aussi interrompu à cause de l’instabilité à l’époque.

Du côté socio-culturel, seulement les filles avec petits pieds étaient considérées belle. La tradition chinoise impliqués et amenés donc à cette manière d’encourager les filles à subir une opération pour ressortir la beauté de leurs pieds. Cette pratique déformer les pieds et empêche de marcher normalement. Les petits pieds donnent une image de distinction et de prestige, seul les familles nobles et les riches peuvent financer l’opération. Dans l’intrigue ont comparent les pieds aux fleurs de lotus. « …. alors tes pieds seront beaux comme des fleurs de lotus ». La personnage principale, Lei-Fei, se sentait laide avec ses pieds avant l’opération, elles étaient « drôlement longues ». Avoir des pieds rapetisses étaient un signe de noblesse, de richesse, de beauté et de pureté. Les filles qui avaient des petits pieds lotus était distinguer et séparer des autres filles communes, elles étaient considérées meilleure et plus belle. « Dans la rue, on ne saluait que les femmes au pieds rapetissés ». Comme on le fait pour toutes les filles de bonne famille de l’époque en Chine, on bande es pieds de Lie-Fei. L’opération des pieds de grand-mère Lie-Fei fit interrompu par son père qui demanda à l’opérateur d’arrêter l’opération car, il y avait un changement de gouvernement en Chine, sa fille avait donc des pieds partiellement déformés de taille moyenne. Tous les tantes et les dames ne flatter plus Lei-Fei avec des compliments, aux contraires elles bavardaient mal à propos de ses pieds. Néanmoins, sa « beauté » avait complétement disparu lorsque la taille de ses pieds ne ressemblait plus aux pains rapetissés. Dans la Chine ancienne, les pieds déterminer donc toute beauté chez les femmes.

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