La Comptabilite

Bernard Binlin Dadié est un écrivain et homme politique ivoirien né à Assinie, au sud de la Côte d’Ivoire en 1916. Fils de Gabriel Dadié, compagnon de lutte du premier président ivoirien Félix Houphouët-Boigny, Bernard Dadié est considéré comme le chef de file des écrivains ivoiriens[réf. nécessaire].

Il est deux fois Grand prix littéraire d'Afrique noire (Patron de New York, 1965 et La ville où nul ne meurt, 1968).

Sommaire [masquer]

1 Vie politique

2 Œuvre littéraire

2.1 Chronique

2.2 Théâtre

2.3 Nouvelles

2.4 Poésie

2.5 Œuvres autobiographiques

3 Notes

4 Voir aussi

Vie politique[modifier | modifier le code]

Dadié est un militant du RDA de Félix Houphouët-Boigny. Incarcéré en 1949, à Grand-Bassam, par l’administration coloniale avec Mathieu Ekra, Jacob William..., il combat le colonialisme – politique ou économique

Œuvre littéraire[modifier | modifier le code]

Auteur prolifique, Dadié a écrit des nouvelles, des romans, de la poésie, du théâtre et des essais. Il est deux fois Grand prix littéraire d'Afrique noire (Patron de New York, 1965 et La ville où nul ne meurt, 1968). Sa poésie est militante, comme en témoignent ces vers1 :

« Je vous remercie mon Dieu de m’avoir créé Noir

Le blanc est une couleur de circonstance

Le noir, la couleur de tous les jours

Et je porte le Monde depuis l’aube des temps

Et mon rire sur le Monde, dans la nuit, crée le Jour »

Chronique[modifier | modifier le code]

Les Villes (1933),

Un Nègre à Paris (1959),

Patron de New York (1956),

La Ville où nul ne meurt (1968).

Théâtre[modifier | modifier le code]

Monsieur Thôgô-Gnini (1970),

Mhoi ceul (1979),

Béatrice du Congo (1995).

Les voix dans le vent (1970)

Nouvelles[modifier | modifier le code]

Légendes Africaines (1954),

Le Pagne noir (1955),

Commandant Taureault et ses nègres (1980),

Les Jambes du fils de Dieu (1980).

Poésie[modifier | modifier le code]

Afrique mon Afrique (1949)

Afrique debout (1950),

La Ronde des jours (1956)

Je vous remercie

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