L'art et la logique de penser

Ce texte est un extrait de l’œuvre l’art et la logique de penser dont les auteurs sont les philosophes français Pierre Nicole ainsi qu’Antoine Arnauld, ces derniers taclent dans leur ouvrage le rapports empirique entre la représentation et la chose. On fait de Pierre Nicole et Antoine Arnauld les fondateurs de la logique Théologienne du 17eme siècle et on les rattache souvent au parti Janséniste. Faisant également partie du mouvement Sceptique, les Auteurs vont chercher à faire un examen de nos connaissances en essayant d’élucider la question de que pouvons-nous savoir en réalité. La thèse adverse a laquelle vont s’opposer les auteurs est celle des Dogmatique ou encore celle des rationalistes tel que René Descartes qui affirment l’objectivité du prédicat perçu or comment s’assurer que le prédicat perçu représente de la chose un caractère qui existe bien dans la chose ? N’y a-t-il pas un doute à avoir sur l’objectivité de tel prédicats ? en effet ce n’est pas parce que je me représente quelque chose qu’elle existe réellement. Arnauld et Nicole impose une autre vision qui nuance celle des rationalistes en expliquant pourquoi il est infondé de penser qu’il existe une objectivité systématique du prédicat perçut

Or comment peut-on affirmer d’une représentation qu’elle est objective ou subjective ? si la représentation est subjective, y’a-t-il une part d’objective ?

Afin d’élucider ces nombreuses problématiques nous aborderont d’abord la thèse des auteurs ( l.1 à l.3) pour ensuite voir comme ils appuient leur raisonnement sur une expérience ( l.3 à fin)

Dans la première partie du texte les auteurs vont chercher à expliquer le bien fondé des jugements que nous émettons sur les choses grâces aux idées que nous en avons. Le jugement est cet acte de la raison qui consiste à lier deux concepts, or ces concepts qui semblent être juste sont possiblement erroné car rien de prouve l’objectivité des choses perçu. Il est intéressant de distinguer le rapport médiatisé, entre la chose et les idées qui se traduit par l’action de la pensée ou un rapport immédiat entre la chose et les idées, on peut prendre comme exemple le fait de toucher la table devant soi. En réalité les idées, ce que l’esprit conçoit ou peut concevoir, sont la représentation de ce qui nous a été donné de voir dans l’expérience. Arnauld & Nicole décrive ( de la ligne 1 à 3 ) le rapport entre la représentation et les choses. Nous jugeons les choses grâce a des Idées car il nous a impossible de les concevoir qu’autant qu’elles sont dans notre esprit. C’est donc d’abord et avant tout une représentation Empirique de ce qu’est la chose. A la suite de ces déclarations arrive le mot « or » ( l.3) celui-ci incombe a un raisonnement. De façon Sceptique , les auteurs vont suspendre leur jugement en mettant en relation les points véridique et faux. Comment peut ont affirmer de son jugement qu’il est vrai et objectif s’il est basé sur des idées, ne regardant pas forcement les choses elles-mêmes mais notre pensée qui elle est subjective. Mais d’où provient notre certitude sensible ? je suis persuadé que ce qui est ainsi représenté comme sensation existe absolument et non relativement à ma perception. Les caractères sont Subjectifs , relatif a mon âme ( ce qui en nous pense et sent) qui les perçoit et ils n’ont aucune

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