L'analyse des acteurs

L’analyse des acteurs (suite)

La communication va faire l’ensemble du projet bien fonctionner. Cette communication doit être adéquate. Ce qui constitue un groupe d’acteurs (déterminer les limites) c’est l’intérêt qu’ils ont par rapport au projet. C’est à partir de cela que l’on va déterminer si quelqu’un appartient bien au groupe. Les enjeux ne sont pas les mêmes pour les différents groupes d’acteurs (presse différent des professeurs différent des élèves).

Un acteur c’est toute personne qui a un lien direct ou indirect avec un projet. La détermination de l’ensemble des acteurs doit se faire au début du projet, et cela nous permettra d’établir le plan de communication.

Les groupes d’acteurs disposent de quelque chose dont j’ai besoin pour que mon projet aboutisse convenablement (compétences, finances, matériels, etc.). Ils interviendront avec leurs propres ressources car je ne les ai pas en interne.

L’analyse du leadership est importante car elle permet de repérer les personnes qui ont une influence ou qui potentiellement une influence sur les décisions qui seront prises dans le cadre du projet.

Comment on procède à cette analyse ?

1. établir une fiche pour chacun des groupes d’acteur et donner des noms, lister les membres et préciser les caractéristiques (ex : administratif vont permettre d’organiser l’espace, etc.)
2. Réfléchir aux motivations des groupes c’est-à-dire quel est leur intérêt dans le projet (what’s in it for me ?)

6. Quel type de communication

La caractéristique des alliés inconditionnelles c’est qu’ils sont enthousiaste et convaincu par le projet : ils iront jusqu’au bout car extrêmement engagé. Néanmoins, on aura du mal à les écouter. Il faut leur donner des directives claires mais on ne leur confie jamais la communication.

Les alliés critiques se caractérisent par le recul qu’ils ont sur le projet. Ils ont un regard critique et font preuve de créativité. Avec eux il faut utiliser les méthodes participatives.

Les résistants se sont « les rois de la négociation » et pour eux toutes les raisons sont bonnes pour pouvoir s’appliquer.

Avec les opposants, quoi que l’on, nous sommes toujours en tord.

Le pilotage de projet

Face à un imprévu, on ne peut pas faire grands choses.

L’aléa c’est quelque chose que l’on peut identifier mais on est incapable de déterminer le degré de probabilité que l‘événement ai lieu.

Le risque (management de risque : identifier les risque et évaluer leur probabilité) est quelque chose d’identifiable. C’est un événement redouté défini par sa gravité et sa probabilité.

5 étapes : identification et caractérisation (dresser l’inventaire) ; estimation ; évaluation ; traitement ; suivi et contrôle

Les techniques d’évaluation (probabilité x gravité = criticité)

1. Le tableau à double entrée

1. criticité avec risque inacceptable : prendre des mesures
2. criticité avec risque inacceptable mais sur long terme
3. criticité avec risque acceptable : si bonne utilisation des équipements de protection individuelle

Lorsque le risque est inacceptable, il faut soit :

• Définir une action préventive qui aura pour but de diminuer la probabilité
• Définir une action de secours qui a pour objet de lutter contre les effets du risque lorsque celui est repéré

1. Dans la méthode Kinney

On associe des coefficients

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