Formes de solitude

Solitude

On constate un sentiment commun entre les deux chansons qui est la solitude. En effet, la chanson de Claude Dubois, Le blues du Businessman met en avant le sentiment de ne pas faire ce qu’il voulait faire. Dans cette chanson, il décrit le fait d’avoir le succès dans ses affaires mais qu’il aurait voulu être un artiste, faire partie de la comédie. De plus, Michel Berger, dans Quelques mots d’amour, évoque-lui sa solitude à travers l’amour. Deux situations différentes mais qui se rejoins par le même sentiment qui est être seul (la solitude).

La photographie 1 de Robert Franck, nous présente une photographie en noire et blanc composée d’un homme marchant à contrecourant avec le visage fermé, dur. Sentiment d’individualisme par le fait que les autres passants vont dans la direction opposée et par le biais des bâtiments hauts et la brume qui marque le sentiment étroitesse et d’infinité. De plus, la deuxième photographie, nous montre aussi la notion du noir et blanc qui permet de caractériser au mieux les sentiments ainsi que les fait et gestes des passants. On remarque aussi comme sur la photographie 1, un visage fermé, dur, tourné sur un objectif et la notion de rapidité des passant. Les bâtiments suggèrent encore la notion étroitesse et infini.

Les photographies de Willy Ronis, nous dévoile aussi la notion de solitude et individualisme. La photographie, Portes de Vanves, nous montre l’immensité des bâtiments et la petitesse du garçon à vélo. La photographie, Semaine de Noël, place du Palais Royal, nous dévoile l’effervescence des passant pour cette période et la solitude de l’homme au milieu. Par cette photographie, le lecteur est tout de suite interpelé par la situation de l’homme par ce qu’il est seul au milieu de femme et enfant. Et qu’il présente le même visage fermé, dur que les autres photographies mais dans une situation différente.

Les photographies de Michael Wolf, nous montre l’immensité de l’architecture à Hong-Kong et nous dévoile un sentiment de solitude vis-à-vis du trop-plein de bâtiments. Il évoque la notion de surcharge de population et de bâtiments au sein d’une ville qui crée un certain individualisme. Ainsi que ça deuxième photographie qui nous démontre un sentiment d’être seul face à l’immensité des bâtiments.

Le roman de John Dos Passos, Manhattan Transfer, nous décrit la solitude des citadins à travers un métro qui démontre toute cette solitude et l’individualisme des citadins par l’arrêt devant la porte du cimetière. Cette notion, nous fait comprendre toute la solitude, le sentiment d’être seul et d’individualisme car le cimetière représente le noir, le néant et la solitude. De plus, ceci démontre, absence de bruit, le vide qui fait référence justement à l’individualisme.

C’est quatre documents, nous dévoile la solitude et l’individualisme des personnages à travers les photographies, les chansons et les romans.

Dans le roman de Guy de Maupassant, Boule de suif, il nous dévoile la solitude de Boule de suif qui étant la seule à avoir des victuailles et la seule généreuse de partager, se retrouve trahie par les passagers de la diligence. En effet, boule de suif se sent trahi, seul et trouve la situation injuste par le forçage

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