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Espace Des Sports, Espace Social Et Effets D'âge

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Par   •  31 Janvier 2015  •  3 439 Mots (14 Pages)  •  2 109 Vues

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Dans son introduction Charles Suaud nous dit que depuis plus de dix ans, le tennis est devenu « un jeu ordinaire ». Le fait que les courts de tennis soit devenu accessible même dans les communes rurales, que les matchs soit retransmit à la télé et qu’il y ai des publicités sur ce domaine à changer l’idée que les gens se faisait du tennis et celui-ci est devenu accessible à tous. L’auteur nous dit qu’il ne fait pas catégoriser les sports à certaine classe sociale mais qu’il ne fait pas rejeter les relations entre espace social et espace sportif pour nous expliquer cela, l’auteur nous donne l’exemple du football et du tennis en opposant les classes populaires et les classes dominantes à leur pratique de ces sports. Le texte de Charles Suaud est structuré en deux grandes parties avec plusieurs sous parties. Dans sa première partie l’auteur va nous expliquer, avec l’exemple du tennis, comment ces ensembles de relations ce rejoignent et le changement des valeurs culturelles de ces sports suivant les classes qui la pratique. Dans une second partie l’auteur va nous expliquer que le sport est « ancré » dès la naissance et que sa façon de la pratiqué est différente en fonction de l’âge, du sexe, des groupes sociaux, et « des attitudes qui leurs sont socialement attaché ». Il nous dit aussi que la correspondance entre espace des sports et espace social ne s’effectue pas sans tenir compte des luttes entre les sexes et les générations. Pour son argumentation l’auteur va introduire le tennis, le squash et le golf.

Dans sa première grande partie l’auteur va introduire neuf sous parties dans lequel il fera son argumentation avec l’aide de tableaux et de documents annexes. Dans sa première sous partie appelée « l’espace structuré du tennis » l’auteur va nous expliquer, en prenant l’exemple de quatre clubs de tennis, (SNUC, la Raquette d’argent, la Gagnerie et Carquefou) que pour commencer le fait d’avoir plusieurs club différent permet de ne pas mélanger les différentes classes sociales, que le prix des séances change selon les clubs, que chaque club comporte des personnes de la même classe sociale et que les personnes des clubs possèdent approximativement le même niveau d’étude.

Dans sa deuxième sous partie appelée « les états successifs de la pratique » l’auteur nous explique que chaque club à une manière différente de « voir » et de « pratiquer » le tennis suivant la classe social. Dans cette sous partie l’auteur va parler particulièrement du club SNUC. Il nous expliquera que ce club a la même manière d’appréhender les séances que dans le temps où le tennis était « réservé » à la classe dominante. Dans ce club l’auteur nous dit qu’il y a une « auto-élimination » des nouveaux participants du tennis, même si ils sont de la classe dominante. Il n’y a que les « bons joueurs » qui viennent dans ce club. L’auteur nous fait remarquer qu’il y a une distinction entre les anciens joueurs et les nouveaux joueurs. L’auteur nous explique aussi que le club Carquefou et la Gagnerie accueille plus particulièrement des classes populaires et que les classes dominantes ont du mal à laisser place aux nouveaux joueurs. Dans cette deuxième sous partie l’auteur voulait nous expliquer que les nouveaux pratiquants du tennis choisissent leur club suivant la catégorie sociale des joueurs du ce club et suivant l’espace local.

Dans la troisième sous partie appelée « le sens du placement » l’auteur nous dit qu’étant donné que les membres du SNUC sont la plupart du temps des personnes de classe dominante et qu’elles possèdent un capital culturel, social et sportif élevé, c’est une démarche naturelle pour eux d’aller dans un club comme le SNUC qui est dans l’espace tennistique un club très renommé. L’auteur nous explique aussi que pour les personnes du club SNUC leur choix de club était naturel. Pour justifier leur choix, il suffit à ces personnes de parler de la valeur sportive du club qu’elles ont choisi et cela tout à fait automatiquement comme si cela était ancré. Les membres du club de la Gagnerie, eux, justifieront leurs choix par nécessité de faire du sport ou tout simplement par normalité. Les membres du club la raquette d’argent, eux, justifie leur choix en faisant des comparaisons entre les autres clubs pour justifier qu’ils ne sont pas ailleurs. L’auteur nous explique que les personnes qui veulent faire du tennis vont dans des clubs qui correspondent à leur classe sociale sans forcément sans rendre compte. Pour conclure, l’auteur nous dit, avec l’aide de témoignages, que le club SNUC est perçu par les classes populaires comme « fermé », que ce club permet à ses membres de créer une « continuité de leur relation » et de garder la même classe sociale au sein du club.

Dans sa quatrième sous partie appelée « les initiés et les tard-venus » l’auteur commence son paragraphe avec plusieurs suppositions. Il nous dit qu’il « est convenu de dire qu’au tennis, « le psychologique » ou « le mental » jouent un rôle important ». Pour expliquer ceci, il donne plusieurs hypothèses. Il nous dit qu’on peut donc penser que la manière de s’approprier les savoirs, que ce que l’on apprend et la manière de vivre ce qu’on apprend « contribuera à la formation de la compétence sportive ». Que le potentiel sportif ne dépend pas de la classe sociale mais il est inégalement réparti entre elles et que ces différences proviennent des conditions d’apprentissage. C’est-à-dire que comme nous le dit Charles Suaud, les personnes qui sont dans une famille qui à l’occurrence pratique le tennis sont plus aptes et plus naturellement portées à pratiquer le tennis. Par la suite l’auteur nous explique que chaque club à une façon différente d’apprendre le tennis à ses membres. Par exemple les clubs SNUC et la raquette d’argent ce sont des adhérents qui arrivent jeunes dans les clubs qui ont appris dans leur famille avant même d’entrer dans un club. Ce sont, comme nous le dit l’auteur « les initiés ». L’auteur nous dit qu’ils ont une « culture authentique ». Au contraire, les clubs Carquefou et la Gagnerie ont des adhérents qui arrivent dans les clubs beaucoup moins jeunes que les deux autres clubs présentés précédemment. Ce sont des adhérents qui à l’inverse des autres clubs n’ont eu aucune notion de tennis. Ils sont appelés les « tard-venus ». Eux ont une culture scolaire peut être trop scolaire.

Dans sa cinquième partie appelée « les rapports différenciés au tennis » l’auteur nous explique que ce n’est pas parce que les adhérents s’inscrivent au club SNUC qu’ils ont une pratique plus soutenue du

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