Dossiers d’hygiène rencontre en stage

Introduction :

Contexte :

Mon stage se déroule dans un lieu de vie, une Maison d’Accueil spécialisée. Une maison d’accueil spécialisée « est établissements ou services d’accueil et de soins destinés à recevoir les personnes handicapées adultes n’ayant pu acquérir un minimum d’autonomie et dont l’état nécessite une surveillance médicale ainsi que des soins constants » tiré du Cairn.info. Elles ont pour mission d'assurer aux personnes handicaper un hébergement, des soins médicaux et paramédicaux, des aides et des soins d'entretien nécessaire par l'état de dépendance. Dans la structure où je suis en stage, il y a des hébergements de jour et a l’année, elle comporte 3 pavillons d’accueil à l’année avec 30 résidants et 1 pavillons d’accueil de jour avec 5 résidants. Avec deux infirmiers, un carde de santé, plusieurs aides-soignants, des aides psychologique, des auxiliaires de puériculture, une assistante sociale ainsi que des personnes qui viennent de l’extérieur comme le médecin, le kiné, la psychiatre. Je vais être attitrée à un pavillon comportant 10 résidants d’accueil a l’années et 1 d’accueil de jour.

Situation :

La situation d’hygiène que je vais analyser se passe le matin au réveil des résidents, en particulier une femme que l’on va appeler « Madame A ». Lors de la toilette, j’oublie par inadvertance les gants à usage unique non stérile. Cela va me susciter des questions sur le port de celui-ci : Qu’est-ce que je risque avec l’oublie de ces gants ? Est-il possible de transmettre quelque chose au résidants dû à l’oubli ? Ainsi analysé la situation vécu me permet de me poser les questions nécessaires et de réalisé les recherches pour y répondre tout en les mettant en relation avec les cours vue avant le stage (en lien avec UE 2 .10.S1.)

Description de la situation :

Dès mon arrivé, je me change avant que nous allions réveiller les résidents et faire leur toilette. L’aide aux soins fait partie des actes qui sont écrit dans des articles de lois tout comme « art R 4311-5 » assuré le confort et la sécurité du patient ». Nous toquons à la porte de leurs chambres avant d’ouvrir tout en leurs disant bonjour, et leurs demandé s’ils ont passés une bonne nuit. Nous commencer les deux toilettes à la barque-douche. Il faut savoir que dans cet établissement la barque-douche est beaucoup utilisé pour le confort des résidents dû à leurs handicape lourds. Par conséquence, ils ne peuvent pas être lavés dans une douche normale, cependant la toilette au lit n’est faite qu’exceptionnellement. Il faut savoir que les résidents aiment l’eau coulant sur eux puisque cela les apaise, ce qui n’est pas possible avec la toilette au lit. Lorsque la toilette à la barque est terminée, nous la désinfectons avant de nous occuper de madame A avec une aide-soignante.

Madame A est une femme âgée de 45 ans ayant fait un accident vasculaire cérébral à l’Age de 16 ans et qui est tombée par la suite dans un coma profond. Ces événements lui ont value un ralentissement cérébral et une paralysie des jambes ainsi que de son bras droit. Elle est assez corpulente, elle a des problèmes de vue l’obligeant à porter des lunettes, elle a également des problèmes d’élocutions dû à son A.V.C. Cependant, elle comprend parfaitement ce qu’on lui dit.

En entrant dans sa chambre, je me lave les mains au savon aseptique et les sèche avec du papier abordant a usage unique puis prépare le nécessaire pour la toilette. Je prends donc des gants de toilette à usage unique, un change propre, sa lotion personnelle, un sac plastique blanc pour jeter le change souillé puis ses vêtements pour la journée. Je pose tout le nécessaire sur son lit tout en lui demandant si elle va bien et si je peux régler son lit à la hauteur de mes cuisses. Elle me répond que oui et qu’elle est d’accord pour que je règle son lit. Je règle alors son lit tout en lui parlant : je lui demande si elle à froid et elle me dit que non, si elle n’a pas mal aux jambes et elle me répond que oui à partir de la mi-cuisse. Je prends donc en compte qu’elle a une douleur dans ses jambes et évite de les bouger. Je baisse ensuite les barrières qui lui on était prescrite afin de ne pas tomber. Je verse de la solution nettoyante sur un gant de toilette à usage unique et lui demande si elle veut se nettoyer le visage elle-même, ce qu’elle accepte. Dès qu’elle a fini, je lui dis qu’elle a bien fait et que je vais lui retirait le haut de son pyjama. Je commence donc a retiré sont pyjamas par le bras paralyser puis par l’autre. Je prends le gant de toilette et lui demande si je peux m’occuper de sa toilette, elle me répond que oui. Je commence par laver le bras opposé à moi, je vais du haut de son bras jusqu’à ses doigts, puis de son buste jusqu’à l’autre bras. Vue qu’elle a froids, je lui mets son t-shirt et son pull. Ensuite, nous lui enlevons son pantalon puis je lui détache sont change, le replie sur lui-même entre ses cuisses. Je lui nettoie ses jambes, ses pieds, je prends un autre gant de toilette pour laver ses partie intimes : je commence par le devant. L’aide-soignante la met sur le côté pour que je puisse lui retirer son change, je constate une selle alors je la nettoie à l’aide du change et du gants de toilette puis jette dans le sac prévu à cet effet. Je mets en place le change propre et remet « Madame A » sur le dos. Nous lui mettons le change afin de lui mettre son pantalon ainsi que ses chaussettes. Nous la repositionnons sur le côté pour mettre le filet permettant de la lever à l’aide du lève personne électrique pour faciliter son transfert dans son fauteuil roulant électrique. Nous lui mettons ses chaussures et je lui demande si elle veut mettre une écharpe sur ses épaules, elle nous répond que oui. Puis je lui mets ses lunettes. Je la coiffe et lui attache ses cheveux, je lui demande si elle veut bien aller à table pour le petit déjeuner qui l’attend avec les autres résidants du pavillon. Puis je pars jeter les sacs dans une poubelle située dans un local prévue pour et je me lave les mains au savon aseptique et les sèche a l’aide du papier absorbant à usage unique.

Questionnement sur la pratique :

Je

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