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Claude-Henri Grignon et la compréhension de l'humain

Analyse sectorielle : Claude-Henri Grignon et la compréhension de l'humain. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  23 Avril 2015  •  Analyse sectorielle  •  2 065 Mots (9 Pages)  •  613 Vues

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Notre compréhension de l’humain sensé est que nous avons tous un certain sens moral ou une conscience qui affecte nos décisions de jours à jours. Pensez à tous les évènements que vous avez vécus, comment de fois avez-vous décidées de faire autrement ou avez fait quelque chose et l’avez regretté après. La raison est d’habitude le drôle de sentiment que vous ressentez dans la tête ou dans le cœur qui est associé avec notre sens de ce qui est bien et mal. Maintenant imagine un humain qui ne fait aucune référence à ce sens morale pour faire des décisions, une personne qui est absolument aveugle à ce qui est bien et ce qui est mal. Le potentiel pour le désastre est inquiétant pour un tel individu. Dans le roman Un homme et son péché par Claude-Henri Grignon, le personnage de Séraphin Poudrier démontre ce détachement d’une conscience très efficacement.

Claude-Henri Grignon, un canadien, a vécue entres les années de 1894 à 1976, passant ses années comme journaliste, politicien et écrivain. De ces trois, Claude-Henri Grignon a toujours été le plus reconnue pour ses romans, dont il en a écrit sept : Les Vivant et les autres (1922), Le secret de Lindbergh (1929), Ombres et Clameurs (1933), Le Déserteur et autres récits de la terre (1934), Les pamphlets de Valcombre (1936). De tous ses œuvres, Un homme et son péché (1933) est le plus reconnu et celui dont je discute dans les pages à suivre. Ce livre est de genre dramatique littéraire car même si l’histoire et les personnages sont vrais-semblables ils sont quand même fictifs et Claude-Henri Grignon ne donne jamais indication que ses personnages sont basse sue de vrais personnes. Il est aussi dramatique parce que les évènements dans l’histoire contiennent beaucoup d’émotions et de drame dans les relations entre les personnages. Même si il n’a pas de preuve que les personnages d’Un homme et son péché, sont basée sur des personnes réels, je crois qu’on peut déduire que l’auteur avait collectionne assez de connaissances du mal dans le monde pour pouvoir tout nous le présenter à travers de son personnage principal : Séraphin Poudrier.

Le roman Un homme et son péché est une histoire classique de la littérature québécoise. L’histoire prend place au Québec et est basée sur le temps moderne de quand ce livre a été écrit en 1933. Au début on est introduit au personnage de Séraphin Poudrier, un prêteur d’argent et l’homme le plus riche dans le comte. Séraphin est un vieux homme très radin, il cherche toujours des nouvelles manières à faire quelques piastre. Séraphin faisait ses fortunes en écrivant des contrats ridicules avec ses clients, insistant sur des taux d'intérêt ridicules qu’ils ne pourraient jamais payes. Ceci menait que plusieurs personnes avait des dettes énormes a Séraphin. C’est une dette de ce genre qui a amené à sa femme Donalda. Le père de Donalda appartenait le magasin au village et il devait à Séraphin une grande dette. Séraphin a offert de pardonner sa dette s’il lui donnerait sa fille comme femmes. La pauvre Donalda a dont devenue l’esclave de Séraphin, nettoyant son plancher tous les jours sans repos et plusieurs autres taches difficiles lui ont été passe. Donalda était misérable chaque jours mais elle ne questionnait jamais Séraphin, elle lui traitait de dieu. On rencontre ensuite le cousin de Séraphin, Alexis, qui est l’opposer complet de Séraphin. Alexis était un homme généreux qui partageaient tout et il invitait souvent Séraphin chez lui parce qu’il connaissait la misère que lui et Donalda vivaient inutilement chez eux. Un jour, Donalda tombe très malade, mais Séraphin n’a aucune compassion sue elle car il ne veut pas croire qu’elle est assez malade d’avoir besoin un docteur parce que les frets de médecins lui couteraient trop cher. C’est donc Alexis qui prend compassion de Donalda et il lui cherche un médecin et lui laisse sa fille pour la soigner. Quand le docteur arrive finalement, il les informe qu’il est trop tard pour sauver Donalda, ils ont attendus trop longtemps et la maladie est trop avance. Ils appellent donc le prêtre pour venir lui donner la bénédiction de la mort et elle meurt ce soir en avant de ses proches et Séraphin. Après la mort et les funérailles, Séraphin ne montre aucun sentiment de malheur, il ne manque pas du tout Donalda. Il est plus content qu’il dépense maintenant moins d’argent pour vivre. Séraphin, maintenant sans la limitation d’une femme, vas a des extrêmes pour sauver encore plus d’argent et ses affaires malhonnêtes remplir de plus. Le plus que Séraphin gagne de l’argent, le plus il devient paranoïde que quelqu’un la lui volerait. Il commence à se promener avec son argent et même dormir avec. Mais un jour, quand que Séraphin devait accomplir des taches dehors pour le printemps, il décide de garder son argent dans la maison juste cette fois. Pendant qu’il travaille, son cousin Alexis vient courir en disant que sa vache est en train de se noyer dans le ruisseau donc Séraphin cours de son plus vite pour sauver sa vache qui lui vaut tellement. Lorsqu’ils retournent de sauver la vache, Séraphin découvre sa maison a feu. Séraphin panique de perdre ses possessions et certainement son argent donc il court dans la maison sauver ce qu’il peut. Même avec le retrait d’Alexis, Séraphin ne pouvait pas être arrêté et puis pendant qu’il essaie de sauver l’argent, les murs de la maison tombent et Séraphin est mort dans la maison. Son corps est retrouve plus tard avec une main pleine de pièces d’or et l’autre pleine d’avoine du sac ou il le cachait.

Séraphin est un type absolument dégoutant. Il n’existe pas beaucoup de personnes dans le monde qui pourraient aimer et respecter cet homme pathétique. Séraphin est décrit comme un vieux homme laid, le livre décrivait qu’on pouvait voir très évidement qu’il ne se prenait pas soin de lui-même. Ce n’est pas son apparence physique pourtant qui lui a collectionne tellement d’ennemis, c’est plutôt son horrible personnalité avare, gourmande, peu profonde, hypocrite, malhonnête et détaché. Les dépenses minimales qu’il faisait uniquement pour survivre et non pour avoir plaisir de vivre démontrent sont avare.

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