ADM 1700 Devoir 1

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Devoir 1 : Étude de cas

De la part de

Véronique Langlois

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Rapport destiné à

Dr Séli Apedome

Le mardi 20 octobre 2015

Université d’Ottawa

Étude de cas : 3-SOFT

Analyse des faits :
C’est avec de la détermination et le désir de la réussite que Serge Beauchemin et André Morissette mirent sur pied l’entreprise «Le groupe 3-SOFT», en 1987. Avec une petite somme d’argent et qu’un sous-sol dans lequel travailler à St-Constant, c’est deux entrepreneurs ont réussi à créer une entreprise qui s’avère à être «le premier revendeur de logiciels au Québec et l’un des plus importants au pays» et il «occupe aussi le premier rang au Canada dans le marché des logiciels destinés au secteur de l’éducation.» (ADM 1700, étude de cas). Avec un bon revenu en 2004,  grâce un chiffre d’affaire important et à une bonne rentabilité, l’entreprise devrait pouvoir poursuivre son élan au niveau de son expansion. Cependant, dans les prochaines années, ils prévoient qu’il y aura une faible croissance dans le taux de revente des logiciels au Canada ce qui pose un problème à la PME qui veut augmenter sa part du marché.

Afin d’assurer la croissance, 3-SOFT s’appuie sur deux autres filiales. La première étant Noxent, une division qui se spécialise dans l’impartition en matière de gestion des infrastructures à distance, et deuxièmement, la formation 3-SOFT, une division qui assure la formation des professionnels en technologie de l’information.

Or même si l’entreprise n’est pas publique il faut tenir compte qu’elle dispose d’un CA, entre- autre, un regroupement des personnes bien connues dans le domaine des affaires. Ceci permet d’avoir une bonne gestion et d’arriver aux buts établis. Entre autres, le président rassemble les employés de l’entreprise ainsi que leurs conjoints/tes pour faire une rétroaction sur les objectifs établis et les résultats obtenus au cours de l’année. Cette bonne organisation et tous les efforts contribués par M. Beauchemin ont porté fruit et en 2002, l’entreprise remporta notamment le prix Entrepreneurship de l’association de la recherche industrielle du Québec.

Problématique :
Tout d’abord, 3-SOFT ne possède que 8% des parts, tandis que c’est un secteur d’activité estimé à 1 milliard de dollars. Celle-ci cherche à se procurer une plus grande part du marché. Encore, il est a noté que le marché de revente des logiciels n’augmentera pas beaucoup, soit un faible taux de 3-4%. L’entreprise doit donc passer au travers du processus de décision afin d’arriver à un objectif profitable.
(À noter- Les options sont retrouvées en annexe)

Recommandation :
D’après moi, la deuxième option (expliqué en annexe a), serait le meilleur choix pour l’entreprise à court et à long terme, elle permettra d’atteindre les buts visés. Comme toute autre option, elle présente des risques, mais remarquablement plus avantageuse que les autres options énumérées. Celle-ci s’avère prometteuse puisque d’ici 2005, le profit de la filiale pourrait doubler. C’est aussi une bonne option puisque ce secteur est en vigoureuse expansion et de façon généralement constante comparé au secteur de la revente de logiciels. Or, l’option de l’achat d’un concurrent est trop risquée étant donné le faible taux de croissance du marché.

Mis en œuvre :

La prise de décision dans une entreprise est un processus critique afin de pouvoir atteindre les buts établis. Elle est composée de 4 étapes bien importantes. Dans l’entreprise 3-SOFT, ce processus est généralement bien respecté. Le président à su déterminer l’objectif à atteindre, il fait une rétroaction/évaluation avec le CA à chaque année, cependant, c’est au niveau de la phase de décision et la phase de mis en œuvre que l’entreprise cesse d’être efficace. L’entreprise doit prendre des décisions en état de risque, et c’est pour cette raison que les méthodes pour y arriver sont cruciales.
Pour être en mesure de prendre la bonne décision, l’entreprise devrait utiliser la technique de prise de décision en groupe. Le président est entouré d’un CA composé de gens bien connus et qui ont chacun de bonnes compétences. L’entreprise pourrait aussi se servir de la méthode Delphi. Elle est utilisée pour faire des prévisions en matière de la technologie, ce qui exactement le secteur dans lequel se trouve le PME.

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