Socrate

Qui est Socrate?

À première vue, la philosophie est représentée par de nombreux philosophe dont chacun a une perception différente. Pour ce qui est de Socrate, connu comme l’un des créateurs de la philosophie morale, n’a laissé aucun écrit mais sa pensée et sa réputation se sont transmises par des témoignages indirects. Xénophon, mercenaire historien, et aussi disciple de Socrate, raconte Socrate comme étant un exemple d’excellence par le biais de ces trois pratiques nommées : tempérance, fermeté et autarcie.

Socrate était un philosophe qui accordait de l’importance à la maîtrise des désirs, qui est défini sous plusieurs aspect dont la perception qu’un être humain peut avoir sur le désir. Pour Socrate, la personne qui désire moins de choses, est plus facilement satisfait puisqu’il ne connait pas ce qu’il aimerait avoir. Instaurer cette pratique demande beaucoup de réflexion et d’efforts. Une autre de ces pratiques consiste à apprendre à devenir meilleur, plus fort et à s’endurcir malgré les nombreux inconforts de la vie. La 3e pratique de Socrate consiste à viser l’autarcie ; vivre sans conditions particulière, vivre selon nos propres règlements et faire nos propres lois. Pour Socrate, celui qui pratique ces 3 pratiques, il vise l’autarcie, c’est-à-dire, le divin, la perfection. Son mode de vie est perçu comme étant celui le plus utile. Avec ses 3 pratiques, l’intérêt publique a beaucoup plus d’importance que l’intérêt propre de Socrate.

Avant toute chose, lorsqu’on parle d’autarcie, on parle d’un système. Si tous les gens pouvaient vivre selon leur propre système le monde serait mieux. Lorsque Socrate instaure cette pratique, il démontre que vivre avec le moins de restrictions possibles serait comme vivre dans la perfection : le divin. Il n’y aurait aucun problème puisque tous les gens seraient concentrés à se gouverner soi-même. L’autarcie est une façon de vivre avec le moins de choses possibles c’est-à-dire vivre seulement de leurs propres ressources, donc moins porter à avoir quelconque problème avec les autres. C’est donc une façon de vivre en paix avec tout le monde.

De plus, pour Socrate, une de ces pratiques nommées : tempérance, prouve que dans celle-ci il y a place à l’amélioration de la personne en soi. Si tous les gens pouvaient désirer moins de chose, ils seraient plus facilement satisfaits, parce que lorsque nous ne connaissons pas tout, nous ne pouvons pas le vouloir. Si nous ne connaissons pas, nous ne voulons pas connaître. C’est-à-dire, lorsqu’on éprouve du désir envers quelque choses, parfois nous voulons faire l’impossible pour l’obtenir, donc notre pensée et notre vouloir est moins libre. Socrate insiste sur la maîtrise du désir pour prouver que si l’on désire moins nous ne voulons pas autant : « Ne sais-tu pas que plus on a de plaisir à manger, moins on a besoin de nourriture, et que plus on a de plaisirs à boire, moins on désire la boisson qui n’est pas disponible? » Cette pratique démontre que l’être humain n’a guère besoin d’avoir beaucoup, il peut se contenter d’avoir le minimum pour vivre dans la perfection. Donc si avoir le minimum de besoin égale la perfection, les pauvres seraient le plus proche du divin. En établissant cette pratique Socrate essaie bel et bien d’instaurer un mode de vie sain et sans complications.  

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