Socrate

A partir de Socrate, les penseurs ou philosophes ont fait du tort à la bêtise, en lui ôtant sa bonne conscience.

Deux thèmes important : l'égoïsme et la bêtise. C'est la bêtise qui est envisagée précisément.

Le texte progresse en deux mouvements principaux : Nietzsche fait une analogie entre la condamnation de l'égoïsme

l1-14 : analogie entre condamnation de l'égoïsme et le combat philosophique contre la bêtise.

Analogie : identité de rapport entre la condamnation de l'égoïsme et le combat contre la bêtise.

Le sens de l'analogie n'est pas explicite : il présente deux états de fait.

Egoisme est il condamnable comme l'affirme la morale judéo-chrétienne ?

Pour Nietzsche : il n'y a pas un seul type d'égoïsme mais plusieurs : celui qui est abêtit et celui qui est créatif et avec lequel il s'agit de renouer.

Il ne s'oppose pas au combat contre la bêtise, il le prend à son compte en le poussant plus loin : principe de la généalogie.

Le questionnement philosophie commencé avant Nietzsche est insuffisant. La condamnation de l'égoïsme a fait du tort à l'égoïsme.

L'égoisme n'est pas condamnable, il est une condition de la vie : c'est une certaine tradition qui a condamné l'égoïsme, pour un certain nombre de raison.

La morale judéo-chrétienne est condamnable : le terme prêcher : condamnable et utilisé à deux reprises.

Il propose son hypothèse sur l'origine de la mauvaise conscience : l'homme au sens de l'humain, la profonde maladie dans laquelle il devait sombrer sous la pression des plus radicale des changements lorsqu'il se trouva définitivement prisonnier de l'envoutement de la société et de la paix.

Thèse de Nietzsche : la mauvaise conscience distingue l'homme ne l'animal.

Qui condamne l'égoïsme ? le ressentiment : s'oppose à la noblesse : un esprit libre qui se libère de toutes croyances.

Ce qu'il y a de vraiment grand , nouveau, étonnant dans notre culture, c'est l'accession de notre bonne conscience contre ce qui appauvrie la vie.

On peut distinguer plusieurs type d'égoïsme : l'égoïsme n'est pas condamnable en soi.

l.11 à 13 : égoisme qui a de l'esprit, de la gaieté d'esprit, de l'inventivité.

Les trois maux : ce qui a été dévalorisé pendant des siècles et que Nietzsche tente de revaloriser : la volupté, le désir de domination.

Homme généreux : a conscience de sa liberté.

La bêtise : un manque de pensée, une manière de vivoter en suivant la règle, la soumission à l'opinion du voisin.

bêtise : une forme conformisme donc, de préjugé : celui qui ne pense pas par lui même.

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