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Pierre et Jean, Guy de Maupassant

Analyse sectorielle : Pierre et Jean, Guy de Maupassant. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  9 Avril 2021  •  Analyse sectorielle  •  1 339 Mots (6 Pages)  •  811 Vues

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Pierre et Jean est un roman écrit par Guy de Maupassant en 1888.

Celui-ci relate une crise familiale: monsieur Maréchal , un ami de la famille Roland à sa mort ,laisse tout son héritage au fils cadet Jean.Pierre ,l’aîné, d’abord jaloux, finit par soupçonner sa mère d’avoir commis un adultère ; il pense que son frère est en réalité le fils du Maréchal.

Dans l’extrait du chapitre VI, qui fait objet du commentaire , Pierre n’arrive pas à se remettre de la triste révélation  sur l’adultère de sa mère tandis que son « frère » Jean , lui n’a pas l’air d’être d’avantage perturbé par cette nouvelle ; il semble préoccupé par d’autres choses.

Ainsi ,il serai bon de se demander  comment réagisse Pierre et Jean fasse à cette nouvelle.

Pour répondre à cette question ,nous  analyserons d’abord la situation et l’ambiance de la famille Roland puis nous  irons observé au cœur de la famille Roland, les comportements de Pierre et Jean.

        Nous allons analyser l’ambiance et la situation de la famille Roland.

Tout d’abord nous pouvons constater que Pierre a un comportement destructeur , non seulement sur ça mère mais sur lui même et sa famille.

En effet, Pierre éprouve de la haine et de la déception envers se mère car il l’a mettait sur un piédestal ,il l’a considéré comme l’exemple de la femme mais depuis qu’elle a commis l’adultère cette image qu’il avait d’elle s’est détruite et ne sait se contenir  tellement ses émotions sont fortes et  les lâches toutes sur sa mère qui est à l’origine du malheur de Pierre ,on pourrai penser à une sorte de vengeance , comme nous pouvons le voir (ligne 1 à 4) je cite  « Il souffrait affreusement de ne plus l’aimer, de ne plus la respecter et de la torturer.Quand il avait bien avivé la plaie saignante, ouverte par lui dans ce cœur de femme et de mère, quand il sentait combien elle était misérable et désespérée...  ». Mais après avoir craché son venin sur elle ,il fuit la situation et se met à culpabiliser de se qu’il venait de faire subir à ça mère,comme nous le montre (ligne 4 à 7)  « ...il s’en allait seul, par la ville, si tenaillé par les remords, si meurtri par la pitié, si désolé de l’avoir ainsi broyée sous son mépris de fils... » . Nous pouvons relever le champs lexical du « regret » et de la « culpabilité »(ligne 5) « tenaillé par les remords »,  « meurtri par la pitié », « désolé »ainsi qu’une énumération (ligne 4 à 6) « par la ville, si tenaillé par les remords, si meurtri par la pitié, si désolé de l’avoir ainsi broyée sous son mépris de fils ...»

On peut aussi suggérer que Pierre devient fou à cause du secret que sa mère lui a caché  ,à lui et sa famille comme nous le met en valeur les ligne 16 et 17 ,je cite « L’infâme secret... C’était un venin qu’il portait à présent dans les veines et qui lui donnait des envies de mordre à la façon d’un chien enragé. » On peu relever une comparaison dans les lignes 15 et 16 avec en comparant « le venin » et avec comme comparé « L’infâme secret » et dans la ligne 17 on relève une métaphore je cite « mordre à la façon d’un chien enragé » . Nous pouvons sous-entendre que le secret étant comparé au venin  ,le rend malade à tel point qu’il a des envies de mordre comme un chien enragé.

        En se qui concerne Jean fasse à cette situation, il semble passif.

En effet , il remarque que Pierre a des actes et des paroles violentes envers sa mère, mais ne s’en soucis pas plus. Il sait se qu’il se passe ,mais continue de venir le soir voir ça famille seulement pour manger et dormir sans se soucier plus de se qu’y si passe vraiment dans cette famille comme nous le met en valeur (les lignes 18 à 20),je cite «  il revenait seulement pour dîner et pour coucher, chaque soir, dans sa famille. Il s’apercevait souvent des amertumes et des violences de son frère ...» Jean attribue ces violences à de la jalousie dû à l’héritage que Monsieur Maréchal à fait à Jean, mais il se trompait.

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