La vaccination

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BEAUMONT—BEZEGHER                  Ds1 Enseignement scientifique                        CNED

Bastien

QUESTION 1

Des mutations apparaissent spontanément au sein des populations bactériennes, conduisant à l’expression de nouvelles protéines capables de détruire les antibiotiques ou de les rendre inactifs en les modifiant. En l'absence d'antibiotique, les bactéries porteuses de ces mutations se reproduisent plus lentement que les autres. Cependant, en présence d'antibiotiques (pression de sélection), la majorité des bactéries sont éliminées, sauf les plus résistantes, qui continuent à se multiplier.  Ainsi les individus résistants se reproduisent et transmettent leur résistance à leur progéniture. Cela s'appelle l’antibiorésistance

QUESTION 2

Les effets de l'introduction de la vaccination a la pneumocoques sont dans un premiers temps une réduction des infections la vaccination qui a considérablement réduit les infections non invasives. Ensuite il y a aussi couverture vaccinale en expansion  en 2015, la couverture vaccinale chez les enfants de 9 mois atteignait déjà 92,4 %, ce qui est proche de l'objectif de 95 %. Depuis 2018, la vaccination est devenue obligatoire en France, ce qui a certainement amélioré encore davantage cette couverture, renforçant ainsi l’effet protecteur sur la population.

On a aussi la diminution de la mortalité et des séquelles. Les infections à pneumocoques étaient responsables de plus d’un million de décès annuels dans le monde. La vaccination a permis de diminuer la mortalité liée à ces infections, surtout chez les enfants en bas âge et les personnes avec un système immunitaire affaibli. En outre, les séquelles neurologiques observées chez 35 % des survivants des méningites à pneumocoques ont également été réduites grâce à la prévention par vaccination.

Pour finir on a la diminution de la résistance aux antibiotiques la vaccination a contribué à réduire la nécessité de traitements antibiotiques et, par conséquent, à ralentir l'apparition de résistances aux antibiotiques

QUESTION 3

A la fin des années 1900 la résistance des pneumocoques a la pénicilline était faible mais plus on avance dans le temps plus les pneumocoque seront résistante a la pénicilline . On peut le voir dans le documents 2 qui montre le pourcentage de souche résistante a la pénicilline. On peut voir que en 1990 environ 13% de souche sont résistante a la pénicilline Alors qu'en 2010 environ 27% des souches sont résistance a la pénicilline.

On remarque aussi grâce au document 3 qu'avant l'introduction du vaccin en 2000 les enfants de moins de 2 ans étaient beaucoup plus touchés par la maladie qu’après l'apparition du vaccin. Aussi un facteur a prendre en compte qui change beaucoup de chose dans l'analyse est le fait des bactéries sensibles ou résistante.

Ainsi on peut en conclure que le vaccin a apporte beaucoup dans la lutte de cette maladie. De part sa résistance a la pénicilline très efficace.

QUESTION 4

La vaccination contre le pneumocoque a été rendue obligatoire dans certains pays, malgré l’existence de traitements efficaces, pour plusieurs raisons de santé publique.

Dans un premiers temps on les infections graves. Les infections à pneumocoques peuvent provoquer des maladies sévères telles que les pneumonies, les méningites, et les septicémies. Ces infections peuvent être mortelles, surtout chez les populations vulnérables comme les nourrissons, les personnes âgées ou les personnes immunodéprimées.

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