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Voyage De Bord Du Capitaine Watson

Compte Rendu : Voyage De Bord Du Capitaine Watson. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  5 Mai 2015  •  562 Mots (3 Pages)  •  713 Vues

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1er jour :

Les cinq coques de nos bateaux fendent l’eau avec l’envie de découvrir le monde. Moi, le capitaine Henry Watson et mon équipage partons à la recherche de nouvelles espèces qui peuplent notre planète. Je suis accompagné lors de mon expédition par le scientifique réputé Fernando Torres et l’ethnologue français Alexandre Lacazette. Nous naviguerons vers le sud, en passant par l’Atlantique. L’équipage semble enthousiaste, malgré la chaleur sur le pont. Le soleil tape et nous n’avons que pour protection, nos vieux chandails, financés par la cours de Grande-Bretagne.

2nd jour :

Nous voici à Lisbonne, au Portugal. Bordeaux est déjà loin. Nous faisons escale et achetons des vivres typiquement locales. Les tangages des navires nous mettaient mal à l’aise, si bien que nous avions décidé d’accoster. Pour nos deux scientifiques et nos hommes, peu habitués à la mer, c’était un milieu assez « hostile ». Ce n’était pourtant que le début.

3ème jour :

Après avoir atteint Casablanca, et passé le détroit de Gibraltar, le docteur et scientifique Fernando Torres, spécialiste des maladies virales, prélèvent des échantillons sanguins sur les autochtones. Après plusieurs tests, aboutissant à la découverte d’un virus mortel, il est trop tard pour se sortir de ce mauvais tour ; plusieurs membres de l’équipage sont maintenant contaminés. Un médecin marocain tente de nos venir en aide grâce à un antidote qu’il a lui-même créé. Celui-ci guérit presque instantanément quelques-uns de nos camarades de bord, il n’a malheureusement pas eu d’effet sur deux ou trois qui restent alités.

4ème jour :

Après notre escale mouvementée dans le nord de l’Afrique, où plusieurs d’entre nous on faillit y rester, nous atteignons la Shira Léone. L’ethnologue Lacazette fit la découverte d’une plante jusqu’ici inconnue, qu’il nomma l’Isoralis. Après l’examen de cette plante par les deux scientifiques, les 5 navires repartirent prendre la route. La température augmentait au fur et à mesure des jours. On était que le 4ème jour, et déjà, les marins sont fatigués.

5ème jour :

L’équipage est décimé. Plus de la moitié de l’équipage décède à cause de la maladie attrapée à Casablanca. L’effet de l’antidote s’était estompé, et nos camarades mouraient un par un. Jamais je n’ai fait de voyage aussi dur. Seulement cinq jours de navigations. Les organismes étaient si faibles qu’on aurait dit un voyage de 6 ou 7 mois. Ce qui est sûr, c’est que la prochaine terre à l’horizon, sera la dernière. Les organismes de tenants plus , il est temps de tout arrêter.

6ème jour

La richesse ne fait pas forcément le bonheur. Au Cap-Vert, l’arrivée de notre courte aventure, nous avons découvert une nouvelle population. Ces gens vivaient dans des cabanes de bois, dans les arbres.

Je pense que moi et mon équipage allons rester ici un petit moment. La faune et la flore y sont riches ici. Les deux scientifiques m’accompagnant ont besoin de faire des recherches.

Concernant la maladie, rien ne va plus. Elle est toujours là, et risque d’en tuer encore plus d’un. J’ai un mauvais pressentiment.

7ème jour :

Plus que quelques minutes avant de mourir. Les autochtones nous ont capturés. D’après ce que j’ai compris, ils pensaient que nous étions la réincarnation du diable. Cette population dont nous pensions le plus grand bien, nous conduira à notre perte.

Ce voyage n’aura servie à rien, si ce n’est à mettre un terme à nos souffrances.

28 février 1697

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