Louis Aragon

Sujet : Dans votre enfance, vous avez été marqué par une personne. Tracez en le portrait (physique et moral) vous veillerez à exprimer vos sentiments passé à l’égard de cette personne ainsi votre jugement actuel.

20 Mai 2007

C’était la fin de l’année scolaire 2006-2007 rien que pour moi et ma sœur, mais les 200 autres élèves de l’école primaire de Stella Matutina, il fallait encore une où deux semaines pour enfin finir cette année. Ces deux semaines était pour moi les plus longues, le genre de semaines où l’on attend d’être enfin libre, mais le temps est horriblement long ou on demande l’heure tout les 2 minutes au voisin le plus proche ayant une montre. Mais revenons au sujet, je laissais donc mes 25 camarades de classe de CM1 et partais pour Ligugé, un village à 10 kilomètres de Poitiers pour la deuxième fois (là où habitent mes grands-parents du coté de mon père), la première fois été en 1999. Nous étions obligés de passer par Paris et prendre le train pour Poitiers. Un long voyage, très long mais surtout incroyablement ennuyeux. Après ces 13h de vol, nous prenions le train, ou plutôt le TGV que j’appelais non pas le Train à Grande Vitesse mais Très Grand Véhicule. Nous avions mis approximativement 2 heures pour arriver à Poitiers, un voyage moins ennuyeux que l’avion mais quand même. On pouvait voir le paysage défiler à toute allure. Mais pour moi les grands poteaux électriques me distrayaient beaucoup plus que le paysage, je les aie compté tout au long du voyage. Arrivé à Poitiers, je n’avais aucune idée à quoi ressemblait mes grands-parents, je suivais donc mon père et ma mère en évitant tous les autres passants avec ma valise verte à roulette. Et je le vis pour la première fois c’était évidemment mon grand-père (où plutôt Papi Jean) pour être grand il était grand, même au moment où j’écris cette lettre mais on pouvait remarquer son petit bidon sous sa grande chemise a carreaux. Il avait un style atypique, qui quand même allait chercher sa famille en pantoufle, c’est pas mal non ? Il avait des cheveux tous blanc et des lunettes qu’il mettait sur le bout du nez. Sur le chemin de Ligugé je m’étais endormis. Ma mère me réveilla en arrivant « à la maison », un immense jardin avec une petite forêt de bambous en pleins milieux. A coté, la maison est plus petite, c’était une très vielle maison. Bien sur je fis connaissance avec ma grand-mère, Mami Martine que je décrirais pas car sa ferait un peu trop long même si je l’aime et j’ai un grand respect pour elle quand même. Pendant environ un mois, je découvris « mon Papi Jean », qui ne supportait pas qu’on lui vole sa place habituel durant tous les repas, il avait aussi son couteaux avec son nom écrit dessus. Je ne pourrais pas citer toutes ses autres manies car il y en a trop, beaucoup trop. Il portait souvent des jeans troués (sauf quand il faillait sortir) avec des chemises a carreaux, il en avait une vingtaines de toutes les couleurs. Il gardait constamment ses pantoufles à carreaux bien sur, mais portait aussi d’autres chaussures beaucoup plus classique qui correspondait à son âge. Sa voix n’était pas particulière, il ne criait pas souvent, il avait « la force tranquille », de l’autorité il en avait surtout avec mon cousin Mattéo. Mon grand-père est plutôt une personne

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