La grande nuit, André-Marcel Adamek

«La grande nuit» D’André-Marcel Adamek

Réponses aux questions.

1) L’instinct de survie. Elles sont prêtes à tout pour sauver leur propre peau. Elles ne sont plus humaines. On observe tout au long du récit une comparaison entre le comportement humain et les mœurs animales, «L’instinct de meute». Il suffit d’une catastrophe pour qu’elles soient guidées par l’instinct de survie comme les animaux. Elles ne sont plus guidées par leur raison.

2) C’est une fiction apocalyptique car on parle de fin du monde. C’est un sous-genre de la science-fiction qui dépeint la vie après une catastrophe ayant détruit la civilisation.

Dans ce cas-ci, ils ne sont pas sûrs de quelle catastrophe il s’agit mais ils pensent que c’est un événement nucléaire; une vengeance de japonais après Hiroshima et Nagasaki. (Dans le récit, la catastrophe a eu lieue le 6 août, la même date que les bombardements au Japon.)

3) Désastres, survie de quelques-uns, réorganisation sociale grâce à la solidarité, nouveaux conflits nés de la bêtise et de l’immoralité des hommes. Dans tous les films et les séries, on retrouve le même schéma.

4) Elle meurt.

5) Ce n’est pas juste une catastrophe qui a détruit la terre, mais c’est la destruction de l’humanité et la civilisation. L’altruisme, la bienveillance, la bonté n’existe alors plus. Les femmes atroces, se laissent conduire l’intérêt biologique et matériel, elles deviennent des meurtrières. Brutes et tendres, fauves et proies…

Il reste des survivants un peu partout, qui sont tous à la recherche un endroit où les conditions de vie sont meilleures et espèrent reconstruire l’humanité qui a disparue.

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