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Le tatouage au XVIIe siècle

Dissertation : Le tatouage au XVIIe siècle. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  1 Janvier 2024  •  Dissertation  •  392 Mots (2 Pages)  •  45 Vues

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L’argot à un lien avec le tatouage chez les criminels Il à été créer et utiliser à partir du 17 eme siècle comme language/ communauté de « Gueux ». Ce language à été «  créer » par les voleurs, les vagabonds et diverses classes de gens hors de la société ou de la loi. Donc se language est vite arriver dans les prisons. L’argot des prisons ou argot carcéral est l’argot parlé par les détenus en milieux carcéral, afin de faire passer entre eux des messages qui ne soient pas compris par les surveillants. Ce qui leurs facilitait donc les échanges. Dans le milieux carcérale les détenus parlait en argot, pour le milieux des juges, tribunaux ils avaient leurs propres vocabulaire, pour les peines de prisons ou de morts ils remplaçaient tout par l’argot. Ils avaient créer une communauté dans une communauté. L’argot ; il leur est nécessaire, flatte leur amour-propre et jusqu'en ces intimes retraites où chacun puise sa force d'expression, conservent son prestige et ces droits. Le Dr Lacassagne est d’un avis semblable. Il dit «  Plus qu'un langage ésotérique, l'argot est la langue d'un état, celui de mauvais garçon. L'homme qui s'exprime en argot le fait pour des raisons bien précises de commodité, et parce que cette langue est le véhicule naturel de sa pensée, laquelle a des fondements extraordinairement éloignés de la pensée commune. La preuve nous en est administrée par ce fait que le magistrat, bien qu'évoluant tout au long de sa carrière dans l'univers de la délinquance, n'est jamais tenté d'adopter la langue

du délinquant » L’argot est comme un moyen de défense pour eux, personne d’autre que des délinquants ou des gens hors de la société hausseraient le parler, cela déteindrais sur eux. Donc es ce que nous pouvons relier à cette époque l’argot et le tatouage dans ce milieux carcérale.

Cela à eu une répercussion sur leurs physique, des marques sur leurs corps, il se fessait tatouer. Car en étant dans un mielleux carcérale, de délinquant, mélangés avec l’argot qui est un langage de criminel, les détenus se rattachent à des conditions dégénératives, ce qui leurs a facilité l’idées de se faire des tatouage car on peut les considérer comme « dégénératif » pour le corps. Mais d’un autre coté ils prônaient ces tatouages avec « fierté » car ils définissait une partie de leurs vie, ce qui les définit.

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