Jack London et l'appel de la foret

L’appel de la forêt

1. Sommaire :

1) Cartel de l’œuvre   (page 1)

2) Biographie de l’auteur   (page 1 à page 4)

3) Personnages principaux   (page 4 à page 7)

4)Résumé   (page 7 à page 10)

5) Les differents thèmes abordés par le livre  (page 10)

6)Mon avis (page 10 à page 10 )

1. 1)Cartel de l’œuvre

L’appel de la forêt est un livre très connu, il y a donc eu plusieurs versions et plusieurs traducteurs\trices.

Version originale

Nom : The call of the wild

Date : 1903

Maison d’édition :Macmillan

Première version Francaise

Nom :L’appel de la forêt

Date : 1906

Maison d’édition : Félix Juven

Traduit par : Raymonde de Galard

La version en ma possession

Nom : l’appel de la forêt

Date : 1980  

Maison d’édition : Folio Junoir

Traduit par : Mme de Galard

1. Biographie de Jack London[pic 1]

Avant la naissance de Jack London, sa mère, Flora, s'était séparée de son père William Chaney. Pendant sa grossesse, elle a tenté de se suicider à deux reprises. Huit mois après la naissance de son fils John, elle se marie avec un certain John London. Pour se distinguer de son beau-père, le fils John aura le prénom de Jack.

Flora la mère de Jack était adepte du spiritisme et de l'astrologie, Flora apprit à Jack qu'il était supérieur à beaucoup d'autres. L'instabilité et la nervosité de Jack viennent peut-être de cela.

Toute sa vie, Jack exagèrera la pauvreté de son enfance. Si celle-ci fut assez bohème et romantique, elle ne fut pourtant pas misérable. L'hypersensibilité et l'imagination qui firent son talent se reflètent dans cette exagération.

À 13 ans, suite à la faillite de la pension de famille tenue par sa mère à Oakland, Jack quitte l’école, où il n'apprenait rien, et travaille quatorze heures par jour dans une conserverie. Bien que remettant son salaire à sa mère, il parvient à s'acheter une barque et passe ses loisirs à pêcher avec son père. Il abandonne son travail et apporte son aide au ménage en faisant du vole à l’étalage. À quinze ans, il fréquente les mauvais garçons du port et mène une vie de débauche.

À dix-sept ans, Jack s’engage sur un bateau et part à la chasse aux phoques. Au retour, il écrit sa première nouvelle et, poussé par sa mère, remporte le prix littéraire offert par le quotidien San Francisco Morning Call. Encore loin de la carrière d'écrivain que nous lui connaissons, il occupe alors divers emplois tous aussi durs et mal rémunérés les uns que les autres.

Toujours aventurier, Il part à Washington pour manifester contre le chômage et la disette. Il renonce rapidement à cette marche inutile et échoue à Buffalo où il est arrêté pour vagabondage.

La prison où il est enfermé n'est qu'un immense camp rempli de vices. Une poignée de meneurs dirigent cette prison à grâce à la violence. Jack prend le parti des plus forts et devient l'un des chefs de ce camp, n'hésitant pas à exploiter les quelque 500 autres prisonniers sans aucun remords.

À sa sortie de prison, âgé de dix-neuf ans, il retourne à l'école et prépare, en travaillant dur, son entrée à l’université. Il s'inscrit au Parti ouvrier socialiste d'Oakland et devient un orateur libre qui dissémine ses  idées dans le parc de la ville, mélangeant des idées révolutionnaires, à ses conceptions personnelles.

En août 1896, il est admis à l'université de Berkeley, mais abandonne rapidement ses études pour écrire et gagner sa vie. C'est à ce moment qu'il découvre l'illégitimité de sa naissance, Il en restera toujours bouleversé. Il devient blanchisseur, puis chercheur d'or dans une rivière canadienne d'où il rapportera un peu d’or (quatre gramme et demi ) et le scorbut.

Quatre an plus tard, il publie un recueil de récits sur le Grand Nord canadien : Le Fils du loup, qui connaît un succès considérable. Il rencontre alors Bess Maddern, qu'il épouse et dont il aura deux enfants, en 1901 et 1902.

Le succès littéraire n'adoucira pas son caractère bagarreur et irascible. Simplement, ses poings sont remplacés par des mots. Son agressivité inquiète ou fait rire, mais ne laisse personne indifférent.

Ayant un cruel besoin d'argent (il continue à subvenir aux besoins de sa mère) il vend à l'avance les droits de son prochain livre. Ce livre, L'Appel de la forêt, se vendra à plusieurs millions d'exemplaires, mais il ne percevra pas le moindre centimes.

Son épouse peu cultivé l'exaspère et il entame alors une correspondance passionnée avec Anna Strunsky.

1903, las de ses amours perturbées et ne voulant plus d'écrire, il se rend en Corée en tant que journaliste et couvre la guerre russo-japonaise. Il y prend plus de risques que les autres correspondants et s'attire les foudres des autorités japonaises. Vexé, il retourne à San Francisco et écrit Le Loup des mers, qui se vendra très bien. Sa vie sentimentale reste chaotique, et sa nouvelle maîtresse, Charmian Kittredge, supporte mal ses frasques. Il boit beaucoup, s'alimente mal et ne s'intéresse ni à l'argent, ni à la gloire, ni au succès.

Il divorce de sa première épouse en 1905, épouse Charmian le lendemain et s'installe avec elle dans un ranch en californie, dans son État d'origine. Conférencier, il attire une foule énorme par son franc-parler, ses idées politiques et sa réputation sulfureuse. La parution des Vagabonds du rail sera un véritable scandale, la bourgeoisie se sentant atteinte et certains libraires enlèveront Jack London de leur boutique. Jack dépense tous son argent dans la construction d'un bateau. il commence à ingurgiter de la viande presque crue

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