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Comment les artistes dénoncent-ils la barbarie au XXe siècle ?

Commentaire d'oeuvre : Comment les artistes dénoncent-ils la barbarie au XXe siècle ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Juin 2016  •  Commentaire d'oeuvre  •  1 508 Mots (7 Pages)  •  1 075 Vues

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HISTOIRE DES ARTS

Thème: L'art engagé

Problèmatique:

Comment les artistes dénoncent-ils la barbarie au XXe siècle ?

Oeuvres choisis:

-Le visage de la guerre de Dali

-Massacre en corée de Picasso

-Les vivres des morts pour les vivants de david Olère

-La vie est belle de Begnini

-Des souris et des hommes de Steinbeck

Pablo Picasso est un peintre éspagnol du XXe siècle

Massacre en corée (dimension 110x210 cm) est une peinture de Picasso .Il a était peint en 1951 et est exposé au musée Picasso a Paris

Le courant artistique de cette œuvre est l’expressionnisme et le cubisme.

La couleur dominante de l'oeuvre est le gris pour

Dans une dominante de couleurs ternes où domine le gris, il montre un groupe de femmes et d’enfants menacés par des soldats. Les civils sont nus, dessinés avec des formes rondes et des lignes courbes, en face d'eux les soldats aux visages cachés aux lignes droites, casqués. La peur se voit sur les civils, en particulier sur les enfants qui se cachent chercher la protection de leur mère. A l’arrière plan, on distingue un fleuve qui sépare la scène du massacre d’une montagne où reste une ruine d’une habitation. Au pied, on semble voir un incendie.

On observe des victimes très inquiètes à l’avant, alors qu’à l’arrière elles sont plus insouciantes (comme si ils ne comprenaient pas ceux qu'ils leurs arrivent ). Les victimes ont des expressions et des âges différents. Les femmes et les enfants sont nus sans défense celà montre montrent de l’innocence , qu'ils ne veulent pas se battre et la terreur. Les couleurs froides des visages (gris et bleu), expriment la douleur, la peur. Ces civils s’opposent aux soldats dont les visages sont cachés et représentés avec des lignes droites et cassantes. Ils sont casqués, et possèdent des armes très grandes et les pointes tous ensemble vers le groupe de civils . Le peintre montre la déshumanisation des guerriers. A droite, un personnage non masqué brandit un poignard pour donner le signal de l’exécution. En tournant le dos à la scène, il prouve qu’il n’assume pas ses responsabilités (et que cela ne le touche pas ). Les fusils sont disproportionnés, Les soldats sont robotisés, sans visage et déshumanisés en peloton d’exécution et montrent de la violence. Les couleurs tirent vers le gris et le noir On observe des couleurs froides (gris, bleus, verts) et reflets métalliques : hommes machines ; bourreaux prêts à donner la mort. On observe aussi des couleurs chaudes de la terre : terre brûlée, mise à feu et à sang. Les habitations sont en ruine, le territoire est ravagé. On observe un contraste entre nudité (désarmement, victimes inoffensives) et armement puissant symbolisé ici par les reflets métalliques des casques militaires et l’armement futuriste qui rabbaissent les combattants, réduits à la fonction d’exécutants et ici d’exécuteurs des basses œuvres.

Pour conclure avec cette oeuvre Picasso a montré la violence de la guerre , il dénonce les soldats Nord Coréen qui tuent même les civils qui n'ont rien demandé et la guerre froide qui a créer cette guerre .

les vivres des morts pour les vivants de David Olère

Présentation : c’est une peinture de David Olère de 1,02 m sur 0,76 m. Il est aujourd’hui exposé au Mémorial de l’Holocauste à New-York.

Description : On peut identifier sur ce tableau les différents éléments représentatifs d’un camp de mise à mort (camp d’extermination) : On a une description précise d’un camp. Les Nazis ont tenté de détruire les crématoires pour détruire les preuves.

Le costume rayé des déportés - Le numéro de matricule des déportés (qui est le véritable numéro de matricule de David Olère) - Le mirador du camp - Les gardes SS avec les chiens (surveillance et administration du camp) - Le triangle de tissu désignant les juifs dans les caps et la nationalité (française) - le transport de cadavres - le four crématoire (les cadavres viennent des chambres à gaz et sont transportés dans les fours crématoires).

Le personnage du premier plan est Davis Olère, il semble effrayé,

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