Les institutions culturelles du Québec - Les industries culturelles - l'industrie du cinéma

INTRODUCTION

Le présent travail porte sur les cours suivent : les industries culturelles, l’industrie du cinéma et la méthodologie.

1. Les industries culturelles

À l’Aide de l’outil Eureka je dois lire le texte d’opinion, trouvé sur le site Le Devoir, intitulé « Pour le fin du financement de la culture par la fonderie Horne » et commenter l’exemple dont il est question dans l’article et la revendication qui le conclut. En se servant des connaissance que j’ai acquise lors du cours Les industries culturelles, je dois inclure la notion de la valeur de la culture.

2. L’industrie du cinéma

Par le biais de mes connaissance acquise lors du cours L’industrie du cinéma, je dois expliquer en quoi la Cinémathèque québécoise diffère d’un cinéma de chaîne en traitant à la fois de la vocation du lieu. Je dois m’appuyer sur le film « Mathias & Maxime » de Xavier Dolan que j’ai vu, ainsi que sur deux source fiables et pertinentes.

3. Méthodologie

Grâce au cours de Méthodologie et aux document qui m’ont été fournie par mes professeurs, je dois insérer toutes les sources demandées et en présenter le liste complète dans une médiagraphie placée à la fin de mon document. Je dois correctement citées les paroles et indiquer toutes les références aux endroits pertinents du texte, de manière conforme au protocole.

Les industries culturelles

La fonderie Horne est un complexe industriel spécialisé dans le traitement de cuivre. Elle débute en 1927 à Rouyn-Noranda. Elle est associée à la fondation de la ville de Noranda et est considérée comme l’un des plus grands producteurs de cuivre et de métaux précieux dans le monde.

L’article « Pour la fin du financement de la culture par la Fonderie Horne » du site Le Devoir expose le mécontentement des habitantes et habitants de Rouyn-Noranda. Ce sont des citoyens militants écologistes qui demande la fin du financement des événements culturels par la Fonderie Horne. D’après Glencore, leur entreprise agi sur le changement climatique en recyclant du cuivre et des métaux précieux, aide la nature à s’améliorer tout en donnant la priorité à la sécurité de leurs employés et s’engage à devenir une entreprise à zéro émission nette d’ici 2050. Les citoyens de Rouyn-Noranda souhaitent que toutes les plus grandes organisations culturelles qui ont le plus d’impact sur la ville mettent fin à leur collaboration avec la Fonderie Horne. En effet, en Abitibi-Témiscamingue, la Fonderie Horne dépasse de beaucoup le taux d’arsenic que ce que les normes du ministère de l’environnement permettent. Elle émet jusqu’à 100 nanogrammes d’arsenic par mètre cube. Toutefois, les normes du ministère de l’environnement du Québec permettent uniquement 3 nanogrammes par mètre cube . Les habitants accusent la Fonderie Horne d’enjoliver son image en étant un partenaire primordial des festivales de la ville. De ce fait, le sous-financement persistant de la culture pousse les festivals à approuver les méthodes d’écoblanchiment de multinationales qui détruise l’environnement. Par conséquent, les dons fait par Glencore à la culture et à d’autres milieux encourage l’autocensure et développe une peur quant à désapprouver l’entreprise ouvertement par inquiétude de mettre en danger les finances des organismes affiliés. En d’autres termes, ce que veulent les signataires de cette pétitions est la sécurité sanitaire de leurs airs et de redonner aux organismes et aux artistes leur liberté de parole .

Conformément au cours Les industries culturelles, la culture

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