Dossier de THEATRE

Royer Enzo                                                                              Lycée Jean Jaurès

Candidat libre

Dossier

de

Théâtre

2017  -  2018

Dossier Théâtre, par Royer Enzo

SOMMAIRE

I – Mon contact avec la scène.

A – Ma rencontre avec cet art.

B – Mon parcours théâtrale.

II – Mon contact avec le rôle de spectateur.

A - Qu'est ce qu'un spectateur ?

B – Comment j'ai grandi en temps que spectateur ?

C  – Mes critiques :

• Dom Juan désossé.   (Jean Villar)
• J'espère qu'on se souviendra de moi. (Jean Villar)
• Merci d'être venu. (Maison pour tous, François Villon en partenariat avec Jean Villar)

III – Ma scène.

A – Rèflexion sur ma scène après la lecture.

B – Le voyage.

C – Reflexion personelle sur ma scène.

IV – Conclusion.

A – Ce que j'en ai tiré

B – Et plus tard ?

V – Annexes.

I – Contact avec la scène.

        Le jour de mon dixième anniversaire mes parents m'ont invité dans un théâtre de Montpellier, son nom est "La Chocolaterie". C'était la première fois que j'allais voir une pièce de théâtre en vrai.

Je fus inpressionné par la sensation que le théâtre m'a donné. Une sensation de liberté et de pouvoir exprimer ce que l'on souhaitait. Cela m'a tout de suite plu. A la fin du spectacle j'ai pu parler avec les artistes et cela ma donné envie de pratiquer cet art. Malheuresement en rentrant chez moi lorsque mes parents ont voulu m'inscrire dans une compagnie je refusa car je n'avais pas confiance en moi. J'étais bien trop timide pour monter sur un scène devant un public, s'adresser à des inconnus me paraissait impossible..

Quelques années plus tard, durant mon année de troisième (il y a 3 ans), j'ai pratiqué le théâtre avec ma professeur de français, je trouvais l'apprentissage du texte plutôt dur mais cela m'intéressait énormement. Je jouais le rôle d'Antigone se révoltant de l'injustice infligée à son frère mort privé de sépulture. Je répétais pendant des heures chez moi dans ma chambre afin d'apprendre ces tirades. Le jour où nous devions passer, j'étais extrêmement stréssé mais lorsque je commençais à parler tout le monde rentra dans un silence divin. J'étais sur de moi, et à la fin de mon passage on me félicita et on fut impression par ma voix grave.

A la fin de l'année de troisième, j'ai voulu me diriger vers le lycée Jean Monnet pour pouvoir suivre une voie artistique mais je n'ai pas étais accepté (ce que je ne comprends toujours pas). Tout compte fait je suis parti dans mon lycée de secteur, le lycée Jean Jaurès de Saint Clément de Rivière. J'ai continué mes années de seconde et de première sans faire de théâtre mais en allant voir des pièces de théâtre environ une fois par mois. A mon entrée en teminale une amie à moi m'a convié de la rejoindre en option théâtre afin de jouer avec elle et de pouvoir "me montrer au monde", j'ai accepté sa proposition.

A partir de ce moment là, j'avais choisi de rejoindre la troupe du lycée Jean Jaurès et de donner une lettre de motivation à la professeur de théâtre en espérant qu'elle m'accepte vu le nombre impressionnant de personnes voulant aller en théâtre. Je fus miraculeusement accepté.

L'autre raison qui m'a poussé à aller faire du théâtre est ma copine qui pratiquait le théâtre depuis la seconde au Lycée Jean Monnet. J'allais voir ses spectacles, ses répétitions, c'était beau.

Elle m'invita à me lancer dans cet art et me voilà aujoud'hui présent entrain de jouer une scène de Ionesco.

           La première fois que je me suis rendu dans un cours de théâtre avec ma troupe j'étais un peu perdu. Tout le monde avait l'air de se connaître, je connaissais qu'une seule personne, je restais à côté d'elle comme si c'était ma propre mère. En effet, plus d'une trentaine de personne était dans la salle, j'étais intimidé. La professeur nous a demandé de marcher, donc je me suis mis à suivre ses instructions. Nous devions marcher dans la salle de façon naturelle, puis elle ajoutait des contraintes comme faire un signe à son camarade lorsque l'on passe à côté de lui ou bien marcher extremement lentement à en perdre l'équilibre. Cet exercice m'a fait me sentir en communion avec moi même parce que grâce au silence procuré j'ai pu me recentrer. Malgré le fait que toute les personnes de la troupes communiquaient, je ne me sentais pas a l'aise avec le groupe. Après cet exercice énergétique, nous avions besoin de concentration et de détente. Toute la troupe est allée au centre de la pièce pour se mettre en cercle, je regardais tout le monde sans savoir ce qui allait ce passer. Notre objectif était quelque chose de très naturel ; s'étirer mais avant cela tout le monde devait fermer les yeux.

Avoir les yeux fermés est quelque chose d'assez stressant au début mais j'étais tout de même en état de relaxation, tout le monde était très calme. Hors mis quelque personne entrain de rigoler, je ne voyais quasiment plus les gens autours de moi, j'étais seul avec moi-même dans ma bulle, silencieux. Juste après, il fallait bailler en relachant totalement sa machoire et faire du bruit avec la bouche en baillant, mais je n'arrivais pas à faire du bruit en même temps. J'étais géné car faire du bruit m'aurai sorti ce mon état, et j'avais surtout peur du regard des autres, de leurs réactions, ceux qui est en y réflechissant maintenant, est un peu absurde d'avoir réagi de la sorte.

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