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Recréer la biodiveristé

TD : Recréer la biodiveristé. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  2 Février 2018  •  TD  •  413 Mots (2 Pages)  •  525 Vues

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Recréer la biodiversité d’un milieu

  1.  La réintroduction d’une espèce.

Evolution du nombre de gypaètes dans les Pyrénées de 2008 à 2011.[pic 1]

  1. La création de récifs artificiels

Graphique représentant l’évolution du nombre d’espèces de poisson dans le récif de 1995 à 2004.[pic 2]

  1.  Les parcs nationaux et régionaux

Evolution du nombre d’espèces et de couples reproducteurs dans l’îlot de nidification.[pic 3]

Source : http://lewebpedagogique.com/svt3ic/biodiversite/la-biodiversite-et-lhomme/


  1. La réintroduction d’une espèce.

Nous observons qu’en 2008, dans les Pyrénées, le nombre de gypaètes était de 96. En 2009, le nombre de gypaètes était de 93. En 2011, leur nombre était de 227.

Nous pouvons comprendre qu’entre 2008 et 2009, le nombre de gypaètes a baissé. Entre 2009 et 2011, le nombre de gypaètes a augmenté.

Nous pouvons en déduire que la technique de la réintroduction d’une espèce dans un milieu adapté permet à l’espèce des gypaètes de se maintenir et donc de ne pas disparaitre.

  1. La création de récifs artificiels

Nous observons qu’en 1995, il y avait 5 espèces de poisson dans un milieu. En 1998, il y avait 18 espèces de poisson. En 2001, il y avait 21 espèces. Enfin, en 2004, il y avait 28 espèces.

Nous pouvons comprendre qu’il y a eu une évolution positive du nombre d’espèces de poissons.

Nous pouvons en déduire que la méthode de la création de récifs artificiels permet de restaurer la biodiversité et de renforcer la biodiversité d’un milieu.

  1. Les parcs nationaux et régionaux

Nous observons qu’en 1994, avant la restauration de l’îlot, il y avait seulement deux espèces présentent sur l’îlot et ils s’étaient moins de 200 couples reproducteurs. Après la restauration de l’îlot il y avait 5 espèces présentent sur l’îlot et 700 couples reproducteurs. L’érosion a fait chuter le nombre de couple reproducteur à seulement 200 et la nouvelle restauration de l’îlot de nidification a fait monter ce nombre à environ 900.

Nous pouvons comprendre qu’à chaque fois que l’on restaure l’îlot de nidification, le nombre de couple reproducteur augmente et parfois il y a même de nouvelles espèces.

Nous pouvons en déduire que l’entretient de l’îlot de nidification dans le cadre de ce parc national et régional est plus que bénéfique.

En conclusion, les techniques utilisés par l’Homme pour restaurer la biodiversité d’un milieu sont la réintroduction d’une espèce, la création de récifs artificiels et les parcs nationaux et régionaux. Ces méthodes permettent de conserver une vaste diversité des êtres vivants, qui est importante pour la survie de l’espèce humaine, malgré que ce dernier a tendance à détruire la biodiversité.

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