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Etude de document Bac S 2015 métropole

Étude de cas : Etude de document Bac S 2015 métropole. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Mai 2020  •  Étude de cas  •  522 Mots (3 Pages)  •  958 Vues

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SVT

Nathan Barrault

TS2

BAC S 2015 méropole

L’espece Gorteria diffusa est une plante qui possède des inflorescences présentant une grande variété d’ornementation selon les individus.

aujourd’hui nous étudions deux variétés la forme « okiep » et « spring » qui ont tout deux une polinisation croisée.

Nous allons donc expliquer, a l’aide des documents mis a disposition, comment la variété « spring » a une plus grande efficacité de reproducion que la variété « okiep ».

Document 1 :

ce document nous montre la difference entre les inflorescences des deux variétés a partir de 2 photographies.

La variété « spring » possède des inflorescences plus sombre que l’autre variété « okiep ».

les taches sombres doivent attirer d’avantages quand elles sont plus noires comme celles des « spring ».

Document 2a :

ce document nous présente des diagrammes représentant les types de visites sur les inflorescences par des males et femelles de l’insecte Megapalpus capensis.

On vois clairement que pour les femelles les visites pour la nourriture représentes 90 % chez okiep et 85 % chez spring le reste est juste une simple visite de l’inflorescence a hauteur de 10 et 15 % respectivement pour okiep et spring.

Pour les males, les visites pour la nourriture représente 70 % chez okiep et 20 % pour spring, les visites simple sont a hauteur de 30%pour okiep et seulement 10 % pour spring, cependant les comportements d’accouplement sont absent chez okiep et a hauteur de 70 % chez spring.

Pour avoir accouplement il faut que l’insecte visite plusieurs inflorescences, les taches sombres chez spring ont sûrement une influence sur la reproduction de la plante.

Document 2b :

Ce document est une photographie représentant une fleur de la variété « spring ».

on y vois un insecte posé sur une la tache sombre de la fleur et couvert de pollen, de plus on vois qu’ils ont la même couleur.

On peut supposé que le pollen d’une inflorescence passe par l’animal et ce dépose sur l’autre inflorescence avec le mouvement de cet insecte et par visite de plusieurs inflorescences car les mâles pensent que l’inflorescence est un autre insecte grâce a ça couleur, ce qui explique le comportement de d’accouplement sur la tache sombre.

Document 3 :

ce document représente des diagrammes montrant le nombre d’inflorescences recevant du pollen exporté d’une autre inflorescence par les mâles et les femelles de Megapalpus capensis pour les deux espèces de fleures étudié.

Pour les femelles il y a moins d’une inflorescence recevant du pollen pour okiep et au moins une pour spring.

Pour les mâles, il y a moins d’une inflorescence recevant du pollen pour okiep et cependant il y a au moins 3, que l’on peut augmenté a 4 avec l’incertitude, inflorescence recevant du pollen.

On peut dire que les mâles participent grandement a la reproduction de la plante spring.

Pour conclure, les inflorescences de la variété « spring » étant plus sombre le mâle est attiré par la couleur en pensant que c’est un autre insecte expliquant le comportement d’accouplement sur la tache ce qui pollinise  la fleur par la même occasion, la couleur des inflorescence est donc le facteur    de plus grande efficacité de reproduction de « spring » par rapport a « okiep ».

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