Science économiques et sociales

Partie 1: Mobilisation des connaissances

La théorie de la croissance endogène affirme l’idée que la croissance économique se traduit par les actions des agents économiques qui par le biais de l’accumulation de différents types de capitaux diffusent dans la société le progrès technique sous forme d’externalité positives. 


En macroéconomie, la notion de choc d’offre désigne une variation importante et imprévue des conditions de production et qui donc affecte les producteurs. Elle modifie notamment les coûts de production. Ensuite, le choc d’offre peut être positif s’il permet l’augmentation des quantités produites. On peut prendre l’exemple du fordisme qui va dans les années 20 mettre en place une production de masse. Enfin, il peut être aussi négatif s’il contraint les producteurs à réduire leur production (leur offre). Dans ce cas ci, on peut prendre l’exemple des chocs pétroliers avec une forte augmentation du prix du pétrole notamment à la fin du XXe siècle. 
Partie 2: Etude d’un document 
Ce document est un tableau statistique publié en 2015 provenant de Eurostat qui présente le PIB par habitant dans 8 pays de l’Union Européenne en 2003 et 2013 sous forme d’indice avec comme base 100 le PIB de l’Union Européenne. Quelles sont les informations apportées sur la situation des Pays- bas et de l’Italie? 
On constate qu’en 2003, le PIB par habitant des Pays-bas et de l’Italie sont supérieur à celui de l’Union Européenne. En effet, cela est dû à une économie dynamique avant la crise des subprimes. Ainsi, en 2003, les Pays-bas ont un PIB par habitant supérieur de 33% à celui de l’Union Européenne et l’Italie ont eux un PIB par habitant supérieur de 12% à celui de l’Union Européenne. On en déduit donc que le PIB/hab des Pays-bas est supérieur à celui de l’Italie de 21 points. 
En 2013, ont peut remarquer que la situation économique des pays à changé suite à cette crise des supprimes. De plus, on constate que les Pays-bas maintiennent un niveau du PIB/hab supérieur à celui de l’Union Européenne. Par conséquent, l’Italie passe en dessous de la moyenne de l’Union Européenne. Cela se traduit par le fait que l’Italie s’est moins bien relancé que les Pays-bas suite à cette crise économique touchant le monde entier en 2008. Ainsi, en 2013, l’Italie affiche un PIB/hab supérieur de 31% à celui à celui de l’Union Européenne et quand à eux, l’Italie, affiche un PIB/hab inférieur de 1% à celui de l’Union Européenne. L’écart du PIB s’est donc creusé, les Pays-bas ont ainsi un PIB/hab 


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qui reste supérieur de 32 points à celui de l’Italie.

On peut donc en conclure que la crise des subprimes à débouché sur des phases de récession et de dépression. En effet, l’Italie à connu une phase de dépression en 2013 suite à une moins bonne relance que celle des Pays-bas qui a seulement connu une phase de récession sans de grave conséquences.

Partie 3: Raisonnement s’appuyant sur un dossier documentaire

Quelques années après la crise économique asiatique en 1997, la Chine se retrouve alors menacée par les recettes protectionnistes

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