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Montrez en présentant deux mécanismes économiques, que le commerce international peut générer des gains à l'échange

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Par   •  28 Mai 2022  •  Dissertation  •  1 264 Mots (6 Pages)  •  275 Vues

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Le commerce internationale qui est un ensemble des flux de biens et de services échangés entre différents pays à intérêt à obtenir un gain à l’échange qui est une théorie économique qui montre que deux acteurs économiques ont intérêt à se spécialiser dans la production dans laquelle ils sont le plus efficaces. Le commerce international va alors utiliser deux mécanismes économiques distinct : Nous verrons dans une première partie la spécialisation internationale et dans une seconde les économies d’échelle.

La spécialisation internationale qui est un processus par lequel un pays concentre sa production et ses exportations sur des activités pour lesquelles il dispose d’un avantage concurrentiel (comparatif ou absolu) leurs conférents les dotations factorielles et technologiques. Les dotations factorielles désignent la quantité des différents facteurs de production (travail, capital, ressources naturelles) présents dans un pays. Ainsi si vin est abondant au Portugal, son offre sera importante et donc son prix faible, il est alors intéressant pour ce pays de se spécialiser dans la production de biens qui requièrent un usage intensif, car leur cout de production sera moins élevé qu’ailleurs. Quant aux dotations technologiques est un ensemble de techniques dont dispose un pays pouvant constituer un avantage concurrentiel dans les échanges internationaux. Les hautes compétences technologiques permettent de produire des biens innovants et d’accentuer ainsi la concurrence (comme les quatre dragons asiatiques dans la seconde moitié du XXème siècle). Ainsi ces dotations permettent de produire plus permettant une meilleure allocation des ressources productive qui est la manière dont les B+S sont distribués entre les diffs acteurs dans une société. Ainsi on affecte cette ressource là où les taches sont le + efficaces.

La spécialisation et le CI mettant en place le gains à l’échanges permettant un avantage procurés aux offreurs et aux demandeurs sur un marché, par l’échange et la spécialisation.

Tout ceci permettant une baisse des couts unitaires de production et des prix sur les marchés mondiaux.

Les économies d’échelles représentent une diminution des couts unitaires de production due à l’augmentation de la taille des marchés et donc des quantités produites.

Si la production d’un bien fait l’objet d’économies d’échelles, il est intéressant pour un pays d’en augmenter le volume de production. Chaque unité produite lui coute ainsi de moins en moins cher. Les pays peuvent alors accroitre sa clientèle étrangère amatrice de produits similaires. Ici ce ne sont pas les avantages comparatifs qui déterminent la spécialisation, mais l’opportunité de réduire les couts de production unitaires. Dès lors, des pays possédant des ressources et technologies comparable peuvent échanger entre eux : chacun se spécialise dans une production faisant l’objet d’économies d’échelle, destinée à des populations locales et étrangères aux caractéristiques comparables (consommation, pouvoir d’achat).Ainsi En présence d’économies d’échelle, la production d’un bien s’accroît de façon plus que proportionnelle à la quantité de facteurs employée dans ce secteur, ce qui fait d’elles un déterminants du commerce international permettant de la même manière que la spécialisation internationale une baisse des couts et donc un gains à l’échanges.

Ainsi la génération de gains à l’échanges par le commerce international s’explique par l’existence de la spécialisation internationale et des économies d’échelles. Ces mécanismes économiques sont l’essence même des fondements internationaux louanger par Adam Smith ou encore David Ricardo partisants du libre-échange.

D’après la WID World, la part des 10% dans le revenu national en 2016 en Europe ont perçu 38% du revenu national en Europe contre 32% en 1980. On peut donc constater que le revenu national n’a pas beaucoup évolué en Europe, avec une augmentation de seulement 6% en 36 ans, soit environ 0,6 % par an.

D’après la WID Word, les 10% des plus riches dans le revenu national en 2016 aux États-Unis-Canada ont perçu 48% du revenu national contre 34% en 1980. On peut donc constater que le

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