LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE MENACE LES RESSOURCES NATURELLES (le pétrole, la forêt, les réserves halieutiques)

LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE MENACE LES RESSOURCES NATURELLES (le pétrole, la forêt, les réserves halieutiques)

Introduction: la croissance économique est l’augmentation durable de la production de biens et services. La croissance est nécessaire au développement. On sait qu’elle développe un pays, elle permet de réduire la pauvreté et le chômage, en résumé elle résout les problèmes sociaux. Cependant, elle contient des limites. Elle peut avoir un effet néfaste sur l’humanité, elle agit négativement sur l’environnement. Les ressources naturelles sont très touchés.

- On va prendre exemple sur le pétrole. Il existe le pic pétrolier, on dit le plus souvent le pic pétrolier mondiale car c’est un sommet de la courbe qui désigne le moment où la production mondiale plafonne. Ici on montre le pic pétrolier en millions de barils par jours en fonction des années. La production de pétrole évolue depuis 1990, dont le pétrole non conventionnel et le gaz naturel liquide continueraient d’augmenter jusqu’à 2035 d’après AIE (agence internationale de l’énergie), tandis que le pétrole brut des champs en exploitation diminue depuis environ 2009. A partir de 2009 apparaît le pétrole brut pour les champs non encore développés et en 2015 est apparue le pétrole brut pour les champs non encore découverts. Tout de suite on remarque une démarcation du pétrole brut pour les champs en exploitation avec presque 60 millions de barils par jours en 1990 puis qui augmente jusqu’à environ 70 millions de barils par jours en 2008 et qui finit par diminuer de 20 millions de barils par jours en 2018 avec une production de 50 millions de barils, d’après AEI.

- Mais faut savoir qu’il n’y a pas que le pétrole mais aussi la déforestation. Des matières organiques d’origines végétale peuvent devenir source d’énergie et les principales formes de l’énergie sont le bois, les biocarburants et les déchets. On parle de biomasse. Ici est représenté les stocks de carbones dans la biomasse forestière en Asie et dans le pacifique en 1990, 2000 et 2010. C’est mesuré en gigatonnes. En Asie de l’Est, Asie du Sud et du Sud-Est puis en Océanie, les variations sont représentées en forme de bâtons. D’après FAO (situation des forêts du monde 2011) les stocks de carbone dans la biomasse forestière sont plus importants en Asie du Sud-Est et en Océanie avec une plus grande activité en Asie du Sud-Est puisqu’en 2010 il y avait environ 22 gigatonnes de stocks, alors que dans les autres États les stocks ne dépassent pas les 11 gigatonnes. En Asie du Sud et en Océanie les quantités de stocks restent stables. Toute fois, l’Asie est un pays qui utilise beaucoup la biomasse forestière. L’évolution des stocks de carbone s’accroître en Asie de l’Est et du Sud.

- Pour finir, on va parler des réserves halieutiques qui sont les ressources vivantes (animales et végétales) des milieux aquatiques marins, eau douce, exploitées par l’homme avec la pêche et l’aquaculture. Grâce au site «environnement.ens.fr» on apprend que les ressources halieutiques sont importantes pour fournir des protéines pour l’alimentation humaine. Mais que cette alimentation est menacée à cause des activités humaines. Comme la population mondiale augmente, la demande en produits aquatiques augmente depuis 1950. Ce qui mène à une pêche plus productive qui menace les écosystèmes marins. Grâce à la source «Défi pour la Terre», on nous informe que les prises de pêche en haute mer représentaient 19 millions de tonnes vers les années 50-90, contre 90 millions de tonnes en 2000.

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