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L'escalade libre

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Par   •  5 Novembre 2022  •  Analyse sectorielle  •  804 Mots (4 Pages)  •  245 Vues

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Escalade EPPCS[pic 1]

Définition et sécurité

Nom Prénom : Devaux Erwan

Définition 

Définition de l’Escalade libre (contrairement à l’escalade artificielle qui utilise du matériel pour grimper) :  L'escalade libre est un style d’escalade qui consiste à progresser sur une paroi sans utiliser de matériel pour s'aider, et à atteindre le sommet d'une voie d’escalade en utilisant uniquement les prises du rocher. La corde et les protections  ne servent qu'à assurer  le grimpeur en cas de chute, et garantissent donc sa sécurité. 

Les 4 différents types de pratiques en escalade libre : On retrouve : l’escalade sportive, l’escalade traditionnelle, le bloc et l’escalade en solo.

Source de référence : https://fr.wikipedia.org/wiki/Escalade

Escalade et sécurité

Définition de la sécurité : Etat visant à préserver l’intégrité physique et psychique d’une personne.

On reliera cette notion à la notion de Santé

En escalade le problème de sécurité est évidemment à mettre en corrélation avec le risque lié à la chute et notamment celle induisant un « retour au sol » synonyme parfois de traumatismes graves voire de décès.

Les 2 grands types d’assurage en escalade sur cordes (voir vidéo règles de base en escalade) :

On retrouve les « assureurs-descendeurs » et des dispositifs avec freinage assité.

En plus du « retour au sol », quel est l’autre risque lors d’une chute en  grimpe « en tête » ? Expliquez en vous appuyant sur la notion de facteur de chute (voir document sur le facteur de chute)

L’autre risque dépends du facteur de chut, si il est élevé, il peut procurer des traumatismes physique au corps de l’individu.

Sécurité Active et sécurité Passive :

  • Sécurité Active :

Il s’agit de toutes les actions permettant d’évoluer en sécurité.

Exemples :

1/ En Bloc, savoir chuter en amortissant les chocs (utilisation des jambes comme « amortisseurs »), genoux écartés et si on est en déséquilibre arrière faire une roulade arrière SANS poser les mains

2/ Anticiper les difficultés potentielles en réalisant une bonne « lecture » de la paroi : A quel endroit est le crux (la difficulté) ? Quel est mon état de fatigue ? Quelle est l’orientation de la chute (vers où je chute en fonction de l’orientation de la voie et de la corde) ?  Quel est le niveau de maitrise de mes partenaires (grimpeur si je suis assureur et inversement) ? En extérieur, quelle est la météo ? Quelle est la qualité de la roche ? etc…

3/ Avoir un bon usage du matériel : Maitrise des différents nœuds, correcte manipulation des cordes, connaissances de techniques de « réchappe » permettant de surmonter des blocages lors d’une ascension (voir vidéo sur les techniques de réchappe) … etc

  • Sécurité Passive :

Il s’agit de tous les aménagements permettant d’évoluer en sécurité.

Exemples :

1/ Rajouts d’aménagements de plus en plus sécurisants tel que l’invention du baudrier à la place d’un simple enroulement de la corde autour de la taille, équipement des voies naturelles avec des broches ou des plaquettes fixes plutôt que des points d’ancrages mobiles.

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