El rostro de la guerra dalí

Salvador Dalí est née à Figueras le 11 mai 1904 et est mort dans la même ville le 23 janvier 1989, il est considéré comme l’un des principaux représentants du surréalisme et l’un des plus célèbres peintres du XXe siècle

Il à peint peinture à l’huile en 1940, entre la fin de la guerre civile et le début de la deuxième guerre mondiale.

Le tableau mesure 64 cm x 79 cm et est conservé au musée Boijmans, à Rotterdam en Hollande

Les événements qui se développaient en Europe, avec la montée du III Reich sur tout le continent, oblige Dalí et sa conjointe Gala à trouver un endroit plus tranquille. Peu d’années auparavant ils avaient échappée à la guerre civile espagnole en travaillant dans plusieurs parties du monde. Peu de pays laissaient à Dalí de se dédier uniquement à l’art. Il choisit finalement les États-Unis, il s’installe en Californie où il voyais des possibilités infinies de continuer à expérimenter sa peinture et sa propre biographie. Les conséquences dans sa carrière ne vont pas tarder à se montrer.

Beaucoup de raisons amène le peintre à faire cette peinture, notamment l’exécution de Federico Garcia Lorca ami de Dalí. Ce cadre ne représente pas la guerre civile ni aucune guerre en particulier, mais la guerre en général, l’artiste exprime dans cette toile l’horreur de la guerre. Le cadre présente une expression de misère, de douleur et de terreur.

Le tableau est une mise en abyme de la mort, c'est-à-dire, la mort dans la mort, Quand Dalí à peint cette peinture, il avait conscience de l’icône de la tête de mort, il à d’ailleurs peint en 1933, « esa muerte fuera de la cabeza » dans les deux cas de répétaient les contenus psychologiques associés à cette idée de la mort et la putréfaction

Les tons du tableau sont marrons et violacé, les couleurs sont cadavériques, des couleurs froides qui donne une sensation de mal-être. Touts les orifices du crâne, les yeux, la bouche et le nez contiennent eux-mêmes des crânes identiques qui veulent dire que la guerre et la terreur est un cycle infini. Des deux côtés du visage, des serpents qui dont référence à la tète de méduse sont en position d’attaque les reptiles contribuent à exalter cette sensation de dégout. Le désert sur lequel flotte le visage est fait de couleurs sombres et il n’y a aucun signe de vie, il y a un sentiment de solitude très grand. La lumière met en valeur le côté droit, on voit apparaître une ombre. On peut également apercevoir l’empreinte du peintre sur le côté droit du tableau.

C’est une œuvre surréaliste, qui vise à libérer l’Homme du contrôle de la raison, de s’exprimer librement ainsi que remettre en cause des valeurs établies et l’esprit de révolte Dalí utilise la méthode paranoïaque-critique, que Dalí définie comme « une méthode spontanée de connaissance irrationnelle, basée sur l’objectivation critique et systématique des associations et interprétations délirantes »

Dalí garde malgré tout un point objectif neutre envers la guerre, adolescent, Dalí pensait plutôt à gauche, il penchait vers l’anarcho-syndicalisme, il suit avec passion la révolution russe et l’armée rouge de Trotski et se défini lui-même comme socialiste, il fût arrêté à Gironne pour agitation révolutionnaire, et sa

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