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Blue economy : les déchets

Compte rendu : Blue economy : les déchets. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  25 Février 2022  •  Compte rendu  •  930 Mots (4 Pages)  •  296 Vues

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Pour la « blue economy », le déchet a de la valeur si on l’utilise correctement. « La définition stricte et rigoureuse d’un déchet, explique Idriss Aberkane, c’est un produit dont la demande est négative, il faut payer quelqu’un pour le prendre tellement personne n’en veut ». Et si on observe la nature, le déchet n’existe pas. « Pour toute offre, il y a une demande », poursuit-il. Nos systèmes économiques produisent des choses pour lesquelles il n’y a pas de demande. Et l’économie bleue, sur le modèle de la nature, c’est l’idée qu’avec la bonne connaissance, on peut transformer un déchet en richesse.

Pour la blue économy, le déchet a de la valeur si nous l’utilisons correctement. Revenons à la définition d’un déchet, qu’est ce que c’est réellement?

c’est un produit dont la demande est négative, il faut payer quelqu’un pour le prendre tellement personne n’en veut. Si on observe la nature sans l’influence de l’homme, elle ne possède aucun déchet car pour tout offre il y a une demande. Nos systèmes économiques actuels produisent des objets pour lesquelles il n’y a pas de demande. Et l’économie bleue, basé sur le modèle de la nature, est l’idée qu’avec une bonne connaissance, on peut transformer un déchet en richesse.

Un principe d’économie circulaire, s’inspirant de la nature et donnant à la maxime de Lavoisier « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » un sens renouvelé : une alchimie nouvelle de transformation des déchets

Pourquoi ne pas renouveler le sens de ce mot? En créant une économie qui s’inspire de la nature. Une économie circulaire avec pour principe cette phrase (maxime) de Lavoisier « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ».

l’économie mondiale repose sur le modèle de l’économie linéaire : extraction ou production de matière première destinée à la fabrication d’objets ou de produits qui seront à leur tour commercialisés et utilisés. Cette chaine est consommatrice d’énergie et productrice de déchets à chaque étape, de l’extraction jusqu’à l’obsolescence. Pendant presque deux siècles, l’abondance des ressources fossiles et l’absence de conscience sur les questions de santé et d’environnement ont permis à la société, dite de consommation, de générer énormément de richesses dans une forme de fuite en avant. Notre économie entière reposant sur une source d’énergie majeure, le pétrole, et sur l’inconséquence du traitement des déchets inhérents.

Pour la « blue economy », le déchet a de la valeur si on l’utilise correctement. « La définition stricte et rigoureuse d’un déchet, explique Idriss Aberkane, c’est un produit dont la demande est négative, il faut payer quelqu’un pour le prendre tellement personne n’en veut ». Et si on observe la nature, le déchet n’existe pas. « Pour toute offre, il y a une demande », poursuit-il. Nos systèmes économiques produisent des choses pour lesquelles il n’y a pas de demande. Et l’économie bleue, sur le modèle de la nature, c’est l’idée qu’avec la bonne connaissance, on peut transformer un déchet en richesse.

Pour la blue

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