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Être libre de penser est-ce penser ce que l'on veut?

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Par   •  22 Mai 2020  •  Dissertation  •  657 Mots (3 Pages)  •  1 512 Vues

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Être libre de penser, est-ce penser ce que l’on veut ?

Éléments de correction

Analyser les termes du sujet

En tant que telle, nous pensons que notre liberté s’affirme dans le fait de penser ce que l’on veut. Un cas partagé par la plupart d’entre nous. Mais dans la réalité, cette situation ne s’apparenterait-elle pas davantage à une illusion ?. Par conséquent, la problématique de ce sujet consiste à savoir si la pensée obéit à des règles, ou si à l’inverse, elle est totalement libre et indéterminée. Dans cette hypothèse, elle ne serait qu’une sorte d’instrument parfaitement malléable au service de la volonté.

Type de plan envisagé

(Pour info, je rappelle qu’il n’y a pas un plan, mais plusieurs possibilités de plan. À vous de rédiger, de par votre réflexion personnelle, celui qui vous convient le mieux).

On peut donc envisager un plan en trois parties (à recommander en priorité)

Le plus efficace parce-qu’il répond à l’ensemble de la problématique : thèse, antithèse, synthèse. Autrement dit en langage étudiant : oui, non, mais.

I. L’homme, être de conscience, pourvu d’une capacité de pensée pour décrypter le monde en adéquation avec sa propre volonté.

A. La capacité humaine à interpréter le monde

B. La conscience, ou l’exercice de la volonté

II. Néanmoins, cette liberté de penser reste limitée, car l’esprit se heurte en permanence à ce qui est à penser, reconnaissant ainsi que l’esprit ne peut pas toujours penser ce qu’il veut.

A. La liberté de penser menacée par ce qui est à penser

B. L’esprit, parfois entravé par ce qui est à penser, et non par ce que l’on peut penser

III. Les contraintes de l’esprit. Une manière de se libérer de ses égarements, affirmant ainsi la libre liberté de penser, en cohésion avec l’usage immodéré de la volonté.

A. Les contraintes de l’esprit. Immanentes à la condition humaine

B. La volonté, moteur de la liberté de pensée

Bien sûr, dans cet exemple, les paragraphes restent à rédiger, en vous appuyant sur vos connaissances personnelles et vos réflexions. (C’était d’ailleurs le but du devoir).

Il faut prévoir 7 à 8 lignes pour l’introduction (idem pour la conclusion) composée obligatoirement de : l’annonce du sujet, l’annonce de la problématique, l’annonce du plan. Pour les paragraphes, qui doivent être équilibrés, prévoyez entre 15 à 20 lignes.

Rappel : si vos paragraphes sont trop inégaux, ce signe doit vous alerter, car dans ce cas, cela veut souvent dire que le plan est mauvais.

À vous de le réorganiser, pour que l’ensemble soit plus cohérent, donc plus efficace. Pour un sujet en trois parties, deux paragraphes pour chacune d’entre elles sont

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